1. Gaëlle, ma fille unique (1)


    Datte: 11/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... repars ou se mélange. Honteux que de telles pensées puissent me traverser, je pousse ma fille à l’émancipation malgré tout. Dans cette logique, j’ai décidé il y a quelque temps de ne plus venir chercher Gaëlle à la fin de ses cours. Sauf cas de force majeure, elle se débrouille pour rentrer. Ceci m’a permis de réorganiser mes heures de travail et de finir plus tard. J’ai fait faire un doublent des clefs de la maison pour qu’elle puisse rentrer avant moi. Il n’y a que le vendredi où j’arrive le premier car elle a décidé de s’inscrire à une activité sportive ce jour-là, après le lycée. Ça lui permet de dépenser son énergie, et Dieu seul sait qu’elle en déborde. Nous sommes vendredi justement, et après une journée harassante faite de classement de papiers et de réunions en tous genres, je rentre chez moi bien péniblement, mais avec soulagement, une heure plus tôt que prévu. Il est environ dix-huit heures quand j’arrive chez nous. La nuit est déjà tombée. Du moins il fait assez noir pour que je distingue une lumière à la lucarne de la salle de bain à l’étage, alors que je gare la voiture devant le garage. Gaëlle est la dernière à y avoir mis les pieds ce matin. Tête en l’air comme elle est, je subodore tout naturellement qu’elle a oublié d’éteindre la lumière avant de descendre. Un soupir et je tourne la clef dans la serrure. J’allume la lumière et je rentre. Naturellement j’aurais appelé Gaëlle pour savoir si elle était bien rentrée et elle serait descendu en trombe de sa ...
    ... chambre pour se jeter à mon cou en riant avec son énergie habituelle. Mais le vendredi elle n’est pas là. En général, je me déchausse et me dévêtis entièrement, je lance mes vêtements sales dans la panière sous l’escalier et je monte me couler un bain. C’est évidemment ce que je fais, pris dans une certaine routine. C’est nu, embrumé dans mes pensées que je monte quatre par quatre les marches de l’escalier et arrive sur le palier, en face de la salle de bain. La porte est grande ouverte. Dans mon empressement je ne fais même pas attention au bruit de l’eau du pommeau de douche, ni à celui du sifflotement léger qui se dégage du nuage de vapeur. Je stop net, stupéfait. Par mégarde, face à moi, la plus exquise des visions. Un corps lisse, humidifié par l’eau de la douche. Celui de Gaëlle. Du chignon que forment ces cheveux, au creux de ses reins : une courbure parfaite, un port altier. Des jambes galbées et un séant raffermit par le sport, aux fesses ostentatoires. Une peau de pêche et une odeur envoûtante. Dans le miroir, sur le côté, je peux entrapercevoir sa gorge superbe, son buste orgueilleux, ses seins arrogants, ses mamelons impertinents. Des tétons bruns coiffant audacieusement les appâts rebondis, sans trop, mais se portant avec allure. Deux petits volcans capables d’embraser les plus bas instincts. Une vision pouvant damner n’importe qui sur plusieurs générations. Comment résister à de telles vanités ? C’est la folie probablement qui m’a fait m’arrêter net sur le pas de la ...