Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 04/11/2019,
Catégories:
f,
ffh,
Collègues / Travail
volupté,
photofilm,
Oral
init,
... de son amie et le pressa tendrement. La conversation portait sur les activités du couple et ses sorties récentes. Le concert de la basilique fut évoqué, et Mireille raconta l’émotion qu’elle avait ressentie à écouter une si belle musique. Pierre rappela à sa compagne que d’autres émotions lui avaient été imposées et mit Aline au courant de la tenue qu’avait adopté son amie ce soir-là. — C’est pas vrai, tu n’as pas fait ça ? dit-elle en la regardant.— Si, pourquoi, ça te choque ?— Non je pense que ce doit être une sensation merveilleuse d’érotisme, mais as-tu pensé que quelqu’un aurait pu le voir ? Je t’ai déjà vue avec cette robe, elle est loin d’être très longue.— Comment aurait-on pu voir, comme tu dis, sans se mettre à quatre pattes devant moi ? Non ça ne risquait rien. Et puis dans la pénombre de la basilique on a déjà du mal à voir sa chaise…— Et si quelqu’un avait remarqué quoi que ce soit, ajouta Pierre, je crois que cela ne t’aurais pas déplu. Mireille est un peu exhibitionniste. Elle ne conçoit de bronzer qu’entièrement nue par exemple. Tu connais sa particularité ? Mais le plus beau, c’est qu’elle m’a convaincu de l’accompagner dans ses séances de bronzage, et dans la même tenue. Je suis devenu comme elle, un peu exhib’.— Ce n’est pas de l’exhibitionnisme. J’aime le soleil et la nature, je ne vois pas pourquoi je cacherais mon corps, donc dès que je peux, je vis à poil.— Dont tu n’as pas la moindre trace, dit en riant Aline en se souvenant du corps parfaitement ...
... lisse de son amie.— Ce qui n’est pas ton cas, lui renvoya Mireille. J’imagine que si tu ne t’épilais pas, tu aurais un beau tablier de sapeur.— C’est vrai, mais il y a tellement longtemps que je débroussaille tout ça que je n’imagine pas revenir en arrière. J’ai commencé quand je faisais de la natation. Ça la fichait mal d’avoir cette fourrure qui débordait de partout. Et puis Bernard aimait comme c’est maintenant. C’est en pensant à lui que j’ai continué.— Tu verras, dit Mireille à son futur mari, elle fait ça très bien, ça met sa petite chatte en valeur que c’est un régal !— J’ai hâte de voir ça, dit-il en posant sa main sur la cuisse d’Aline qui était à sa portée. Celle-ci tressaillit en sentant la douce pression qu’il exerçait. Elle posa sa main sur celle de l’homme et lui rendit sa caresse. — Nous pourrions peut être nous faire une séance de bronzette chez toi après le café, dit Mireille en s’adressant à son amant. Qu’en penses-tu Aline ?— Pourquoi pas, répondit-elle ? S’il ne fait pas de vent, le fond de l’air n’est pas encore très chaud, nous ne sommes qu’en mai. Elle se sentait un peu oppressée. Elle sentait le moment venir où elle ne pourrait plus reculer, où elle serait nue face à Pierre, soumise à son regard, probablement à ses caresses, encore plus probablement à son corps. Elle se sentait excitée et tout à la fois un peu anxieuse. — Dans la véranda, nous bronzons au moindre rayon de soleil, même en hiver. Tu verras, elle est super pour ça. Aline voyait déjà leurs ...