1. To be or not to be (6)


    Datte: 05/11/2019, Catégories: Transexuels

    Comme Ghislaine me l’avait demandé, je portai tout au long de la semaine le serre-taille qu’elle m’avait offert. Le premier jour, je dus demander à maman de m’aider à attacher les jarretelles arrière. Elle fut étonnée de me voir avec un tel accessoire qui pour elle ne se portait que pour des occasions rares et coquines. Elle m’avoua qu’elle n’en mettait plus depuis longtemps à cause de ses rondeurs. Je ne dis rien mais je me promis de lui en offrir un. J’étais sure que papa aimerait revoir maman sexy comme aux premiers jours. Et je dus admettre que cela restait confortable, peut-être même plus que les collants classiques, qui finirent par disparaître de mes placards. Je fis la connaissance de François. Je ne l’avais rencontré qu’une fois, brièvement. François travaillait pour une multinationale et négociait des contrats aux quatre coins du monde. Comme sa femme, il avait la cinquantaine, les tempes grisonnantes. Mais ce qui ressortait surtout, c’était son charisme et son aura. Je buvais ses paroles, même si parfois, je ne comprenais pas tout. Il me trouva charmante, raffinée, élégante. Le couple était aux petits soins pour moi. Ghislaine m’offrit deux autres serre-taille avec six ou huit jarretelles et un lot de bas de différents coloris. — Toujours en bas ma chérie, toujours. — Même en été ? — Non, quand même pas, répondit-elle en souriant. La soirée se poursuivit. — Et si on passait aux choses sérieuses ? proposa Ghislaine. Je tressaillis. Si faire l’amour à Ghislaine ne ...
    ... me dérangeait pas, un plan à trois m’inquiétait un peu à l’idée d’être sodomisée. Mais il n’en fut rien. Si je fis l’amour à ma patronne, François, se contenta d’être spectateur tout en se caressant. Ce qui était tout aussi dérangeant. J’avais l’impression de passer un examen. Malgré tout, je jetai un coup d’œil à son sexe long et fin. Je fis jouir Ghislaine et qui déclencha l’éjaculation de son mari et de la mienne. — J’ai un service à te demander, annonça François alors qu’on prenait un verre dans le salon pour nous remettre de nos émotions — Oui, bien sûr. — Ne t’emballe pas. Je dois assister la semaine prochaine à un cocktail pour rencontrer des clients, parler avec eux, etc. une réunion de travail en somme. Et j’aimerai que tu m’y accompagnes. Ça se passe à Londres. — Mais Ghislaine … — Oh tu sais, j’en ai la barbe de ces soirées. J’en ai trop fait. Et un peu de jeunesse, ce sera bien aussi pour François. — Mais je ne connais rien à ton métier. — Ce n’est pas nécessaire. Tu as juste besoin d’être à mes côtés. Tu parles anglais ? — Euh … — Pas grave. Tu pourras utiliser tes talents de comédiennes. — Par contre pour le billet, faut que je voie ce qu’il me reste sur mon compte. — Ne t’occupe pas de ça. Le billet, l’hôtel, les repas, c’est moi qui gère. Tout comme ta robe pour la soirée. — Bon, bon. C’est d’accord alors. — Tu n’es pas obligée de me répondre maintenant. Tu peux réfléchir. — Ça ne changera pas grand-chose. Ah si, la boutique ? — Je peux m’en occuper, tu sais, ...
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