1. To be or not to be (6)


    Datte: 05/11/2019, Catégories: Transexuels

    ... de mon élégance. François parlait en anglais. Je ne comprenais rien, mais ce n’était pas mon rôle. J’engageais la conversation avec unes de ses dames qui, elles, parlaient un français excellent. Pour une fois, je gardai pour moi ma véritable nature. Nous rentrâmes enfin. Même si j’adorai mes escarpins, je n’étais pas fâchée d’arriver pour les quitter. — Tu es fatiguée ? demanda François. — Non ça va, dis-je, ayant une petite idée de ce qu’il avant en tête — J’aimerai faire l’amour avec toi, avoua-t-il tout de go. — Je m’en doute un peu, répondis-je en souriant. Je me penchai vers lui et l’embrassai. — Merci pour cette soirée, ce voyage, la robe, les chaussures. Merci. — De rien. Tu le mérites. On s’embrassa à nouveau. — Tu veux aller te préparer ? Il y a tout ce qu’il faut dans la salle de bains. Et puis, j’aimerai que tu démaquilles et que tu reviennes toute nue. La requête me surprit au départ, mais je compris ce qu’il recherchait : un jeune homme, pas un travesti. J’obéis, ne gardant de ma féminité que mes ongles vernis. Un grand sourire illumina son visage lorsque je me rassis à côté de lui. Il embrassa ma bouche, mon corps. Sa main précédait sa bouche et toucha mon sexe en premier. — Déshabille-moi, demanda-t-il J’obéis une nouvelle fois. Une légère odeur de transpiration monta à mes narines. Je déboutonnai son pantalon et fis glisser son caleçon. Son sexe, en semi érection, était la devant moi. Sans hésiter, je le pris entre mes doigts et le guidai entre mes lèvres. ...
    ... François soupira de plaisir. Je le suçai un moment jusqu’à ce qu’il atteigne sa taille maximum, une queue longue et fine, au gland bien lisse, attirant, appétissant. Je le suçai encore mais je ne pouvais pas aller plus loin que quelques centimètres. — Ghislaine t’apprendra l’art de la gorge profonde, dit-il. bnvbppuz Il me laissa faire encore un moment. Puis il me fit me relever pour m’embrasser longuement. Il me fit mettre à quatre pattes sur le lit, la tête posée dans les oreillers, mon cul vers le plafond. Il vint derrière moi et me lécha la rondelle. J’vais déjà subit ce genre de chose, mais jamais comme le faisait François. Mon œillet s’ouvrit comme une fleur. — Je peux ? demanda François — Oui, répondis-je simplement, étonnée qu’il me demanda la permission Il se releva, posa son sexe à l’entrée de mon petit trou et me saisit par les hanches. Il poussa doucement, par à-coup. Son sexe entra doucement, sur toute sa longueur. — Ça va ? — Oui, dis-je toujours aussi surprise par tant de prévenance. Il me fit l’amour, doucement, tendrement, avec un respect infini. On changea de position pour venir en missionnaire, mes chevilles posées sur ses épaules. On changea une nouvelle fois pour s’allonger sur le flanc, lui derrière moi. Il s’empara de mon sexe dur qu’il branla en cadence avec ses coups de rein. Il jouit en silence. Je sentis sa semence chaude se répandre en moi. Je jouis à mon tour dans sa main et ses doigts qu’il lécha ensuite révérencieusement. On refit l’amour une ...