1. Mon voisin le polisson (1)


    Datte: 06/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sans se branler et c’est aussi valable pour les mecs. En fait de livre, je sentais le vécu, il transpirait carrément le vécu. Il me fallut faire une pause à la moitié du livre, mon corps était en nage, mon fauteuil était inondé de mouille, je devais avoir jouit cinq ou six fois. Bref, j’étais vidée comme à la première lecture. Curieusement, je me rendis compte que la prude Mireille m’a laissée en paix. Devenait-elle moins coincée ? Quand j’ai ouvert les yeux, j’étais dans son monde. J’étais attachée en croix, mon corps à la merci du premier venu. Sur ma bouche un gros bâillon m’empêche de crier. Des rires éclatent dans mon dos. Puis, quelque chose pénétrait mon corps en force, un homme s’agrippait à ma taille. Il pilonnait mon cul, je me sentais déchirée, merveilleusement déchirée. Un homme en cagoule vint me prendre par devant, déchirant mon hymen en riant. Cela continue, montant ou descendant de mes épaules à mes fesses. J’ai mal, très mal et pourtant je ne hurle pas. Une main se glisse entre mes cuisses, une main douce me branle en douceur. Je ne vois pas mon bourreau, je ne sens que son corps contre mon dos. Il lâche mon sexe, il écarte mes fesses. Sur mon cul, une bite pousse fort. Je vais hurler, déjà la douleur me gagne. Soudain, il est en moi et je ne ressens plus que du plaisir, plus aucune douleur. Ma tête heurte je ne sais quoi. Mes yeux s’ouvre, il fait nuit, mince, je viens de rêver. Sur le balcon, il est là, il écrit, je l’entends. Une lampe éclair sa table, je ...
    ... vois les formes de son dos. S’il savait ce que son livre venait de me faire vivre. Pourtant, en le voyant de dos, je crois qu’il a deviné. Il tourna légèrement la tête, je devinais une esquisse de sourire. Je file me réfugier dans mon lit, je me refuse à prendre son livre avec moi, certainement la prude Mireille qui est revenue m’envahir de sa présence. Ma robe est complètement froissée. Je me rends compte de la violence de mon rêve. Je ne tarde pas à m’endormir. Mon thé à la main, sur mon balcon, je me sens reposée. Lui, il est là, comme s’il n’avait pas été dormir, il écrit. Je ne peux pas le déranger, je ne suis pas encore habillée, je bois mon thé, regardant, le corps adossé contre le mur de mon appartement, le paysage que le soleil inonde déjà. Je me sens étrangement bien, c’est vrai quoi, je n’ai pas eu une pensée pour cette jeune femme du livre. En tout cas, je ne m’en souvenais pas. Sous la douche, les bienfaits de l’eau sur mon corps achève de me réveiller. Vêtue, je sors prendre l’air dans le petit parc, enfin, c’est une excuse, je vais y lire ce livre mais, c’est aussi pour être certaine de ne pas me caresser. Plongée dans ma lecture, je ne vois pas s’amonceler les nuages au-dessus de ma tête. Quand l’orage éclate, je me sens prise par quelque chose de sublime qui m’emporte. Telle une vague, je jouissais, le bruit du tonner tel un coup de fouet s’abattant sur mon corps me fit jouir. Sans me toucher, je venais de jouir de ce livre et de l’orage. Je crois que c’est à ...
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