1. Mon voisin le polisson (1)


    Datte: 06/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pas le bon exemple, oubliez-le. Heu, là, je n’en ai pas. Tenez, j’ai là l’un de mes livres, sur cette clef USB. Celui-ci n’a pas encore été publié. Je ne parviens pas à le corriger, j’ai peur de le dénaturer. » « Je vois. » « Pourriez-vous me le corriger ou, tout du moins, le lire et me donner vos impressions ? » « Je vais voir ce que je peux faire. Mais je ne vous garantis rien. » « Non, je ne veux que vous vous preniez le chou avec ça. Il s’agit juste d’une de nos aventures à ma défunte femme et moi. Mince, déjà ! Je dois vous laisser, ma partie d’échec n’attend pas. Bye ! » « À plus. » Me voilà bien, un livre de plus. Dans mon salon, je grignote un peu en terminant le premier, celui que je dois rendre. Il y a une chose que je ne comprends pas, il a publié un livre, il a été corrigé, mais par qui ? En tout cas, une chose est sure, cette personne a fait un excellente travail. C’est avec peine que je le termine enfin, non sans avoir encore prit mon pied. Surtout quand l’héroïne se fait anneler son sexe et que son partenaire y accroche une médaille avec son nom comme un titre de propriété. Ce livre m’épuise en orgasme, je me rends compte que j’y prends gout de manière malicieuse. Alors que je commence le second, pendant qu’il se charge sur mon traitement de texte, je me dis que je ne pourrais pas l’emporter partout. D’un côté, ça m’arrange bougrement. S’il commence de manière plus douce que le premier. Je me rends vite compte que cette femme, sa défunte femme, n’est pas du ...
    ... tout comme je me l’imaginais. S’il la décrit comme belle, irrésistible, il la décrit, aussi, comme une femme au caractère très fort et pourtant, elle est une soumise dans l’âme. Une soumise qui aime quand il la rudoie, la fesse, la fasse souffrir. S’il n’y a aucune violence au sens où le dit la loi, elle aime être brusquée, punie à la moindre faute. Quand ils se rencontrent pour la seconde fois, il la fesse pour avoir renversé son verre de rouge. Mais ce n’est pas lui qui impose cette fessée, c’est elle qui l’implore, c’est elle qui veut être fessée en étant, pardonnez le terme, enculée à sec. Aussi, je me demande qui domine qui. Et cette foutue question commence déjà à me prendre la tête. Alors, je me force à lire ce petit roman. S’il n’est biographique, il n’en demeure pas moins une histoire vécue. Certes, les noms, les lieux comme les professions sont changés, mais je reconnais très bien la patte de René. Je fais une première lecture, mes mains se dispersent mon corps, une sur mes seins et l’autre nettement plus bas. Chaque fois, il me faut arrêter une douce et bonne caresse pour avancer le texte. Pourtant, sur une page, je ne peux m’arrêter, je dois jouir c’est trop fort. Il l’a couchée sur ses cuisses, sa main claque son cul avec un gant remplit de petits piquants. La belle est sur le point de jouir quand il enfonce l’autre main en son sexe et...mince, je dois changer de page. Non, j’imagine la scène, il la pénètre de sa main toute entière. En moi, je sens tous mes doigts ...