1. Mon voisin le polisson (1)


    Datte: 06/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mon voisin qui lui tient solidement la tête. Je me recule, regarde à nouveau. Je reste là, à les regarder. Il va jouir, je vois sa tête se reverser en arrière. Il bloque la tête de la femme, elle a sa bouche remplie du sexe de mon voisin. Les convulsions de son corps m’indiquent qu’elle reçoit tout le sperme de mon voisin dans sa bouche. Il la repousse, couchée sur le sol, je la vois avaler. Il la bouscule du pied. — "Je savais que tu aimais ça, pourquoi crois-tu que je t’ai fait lire mon livre. Alors, on continue ?" — "Non, je dois y aller, j’ai rendez-vous" — "Ok, dégage alors!" Sans autre forme de procès, il la détache et se remet à l’ouvrage. La femme se relève et disparait dans le salon. Quelque instant plus tard, elle quitte l’appartement. Je suis dans mon fauteuil, je cherche à comprendre, complètement hébétée. La prude ne cesse de me crier dessus en me disant que cet homme est dangereux pour moi. Sur ma table basse, son livre, je le prends, dès la première ligne, je suis plongée dans son univers. Certes, il n’a pas la plume d’un Apollinaire, Hugo ou encore Baudelaire. Je ne cherche pas la beauté de l’écriture, c’est l’histoire qui m’intéresse. Très vite, je me sens emportée dans le corps de l’héroïne, une main glissée entre mes cuisses. Très vite, je ressens un premier orgasme grossir démesurément en moi, quelque chose de violent, de puissant. Quand il arrive, je suis emportée par une vague énorme, un tsunami. Quand j’ouvre les yeux, je suis sur le sol, mon corps ...
    ... nage dans ma sueur. Entre mes cuisses, c’est trempe, inonder de ma mouille. Sur la table, ce livre, cette histoire, je le referme. Mireille la prude me pousse sous la douche, l’eau fraiche me sort de mon orgasme. Dehors, le soir tombe, sur le balcon, il travaille encore. Je me rentre pour manger quelque chose. Dans ma cuisine, je repense à cette scène sur le balcon, le livre qui raconte ce même genre d’histoire. Je me sens bouleversée, chamboulée dans mes convictions. Même la prude Mireille ne sait plus à quel saint se vouer. Je me pose tellement de question, je me surprends même à envier cette femme nue, humiliée en train de faire cette fellation. Je dois lutter contre moi-même pour ne pas me masturber encore, c’est la très prude Mireille. L’envie est grande et résister est si dur, si pénible voir si douloureux que je me réfugie sous une douche glacée. Durant les jours qui suivent, j’observe mon voisin, je l’épie dès que je le peux. Il me fascine, il me trouble, m’envoûte. J’ai peur des réactions de mon corps si je me retrouvais face à lui. Pourtant, j’avais cette envie de le rencontrer, de lui parler, de le connaitre mais pas par la bouche des autres. C’est de sa bouche que je veux savoir, de sa bouche. Il me faut une occasion, de ces occasions qui vous poussent à ne plus pouvoir faire marche arrière. L’occasion vient un matin, quelques jours plus tard. En sortant de mon chez moi, je tombe comme une gourde en ne regardant pas où je mets les pieds. Il arrive derrière moi juste ...
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