Une souris et des hommes
Datte: 07/11/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
vacances,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
... honte de me laisser branler par un gamin, mais je ne me sens pas la force de le chasser : il est si beau ! Je peux l’admirer tout à loisir pendant qu’il opère ; j’ai ouvert le compas au maximum pour lui permettre d’œuvrer à l’aise. Il alterne : tantôt il roule le clito, tantôt il introduit deux doigts, puis trois, puis quatre, distendant mon vagin dans tous les sens. Le plaisir monte… Il monte bien plus encore quand il s’avise de planter le nez dans ma vulve. À l’instar de son compatriote, il se concentre sur mon bouton d’amour ; je le soupçonne d’engager la compétition, quêtant le même genre de trophée que l’autre a immortalisé. Je n’ai pas l’intention de m’en laisser compter, j’ai d’autres projets. — Déshabille-toi ! que je lui intime. Il a tôt fait de se débarrasser de son boubou : il est nu, modèle parfait pour les artistes de la Grèce antique. La boîte de préservatifs est à portée ; j’en récupère un que j’extrais de son emballage de protection : il s’avère être de couleur vert pomme. Va pour le vert pomme, taille standard, du reste bien suffisante. J’ai connu des Blancs mieux dotés. Mais comme chacun sait, la taille ne fait rien à l’affaire ; n’empêche… La position du missionnaire ne lui convient pas, il me veut en levrette. Va pour la levrette. Un vrai lapin : il s’enfonce et me défonce à cent à l’heure. La fusée décolle et je n’ai rien vu venir ; je ne suis même pas absolument sûre qu’il ait éjaculé. Me prend-on pour une barge ? Le mouvement de troupe ne me trompe ...
... pas. Du reste, c’est du gros calibre, du très gros calibre qui s’est logé dans mon vagin ; rien à voir avec le précédent. Je me rebiffe, me dégage et me retourne : Ahmed est là, face à moi, nu, bras ballants. Je ne vois qu’une chose : un mandrin colossal dressé à la verticale. Je suis éberluée, époustouflée. Je l’ai eu dans le ventre, mais je n’avais pas imaginé qu’il puisse être aussi énorme. J’ai failli ne pas voir qu’il n’avait pas mis de protection, défaut rédhibitoire. — J’ai pas de capotes ! qu’il gémit. Coup de folie ! Je n’ai plus ma tête ; je m’entends proposer de régler le problème. Le latex, par nature, n’est-il pas extensible ? Et quel plaisir de procéder ! Ensuite je le branle pour mettre tout bien en place et m’amuser avec un aussi beau jouet. Je n’en ai jamais vus d’aussi arrogants, sinon sur des vidéos pornos, des machins probablement retouchés. Là, j’en ai un en vrai ; un vrai de vrai dont je peux vérifier l’authenticité : il est dans mes mains ; et bientôt à nouveau dans ma chatte. J’en salive. Je n’avais pas prévu de me taper trois types ; mais là, c’est un cas de force majeure, une occasion comme celle-là ne se représentera plus jamais. L’engin est superbe, légèrement courbé, magnifiquement impertinent et délicieusement nerveux. Manque de bol ! La capote bâille : elle s’est éventrée sans bruit, sans prévenir. Le deuxième essai conduit à la même catastrophe. Je suis effondrée : adieu veaux, vaches, cochons, couvées… — Mais puisque je te dis que j’ai un ...