1. Une souris et des hommes


    Datte: 07/11/2019, Catégories: fh, fhhh, couleurs, vacances, pénétratio, Partouze / Groupe init,

    ... je préfère en rester là : je ne vais évidemment pas lui dire qu’elle a été souillée par une capote embrenée. Mais Greg n’en est déjà plus là ; c’est un pragmatique, et son sujet du moment c’est ce qu‘il a devant les yeux. — Alors ! Tu en essaies une ? qu’il insiste en désignant le portant où sont suspendues les jupes en jean. Quand il a quelque chose en tête, il ne l’a pas au cul ; il a toujours été têtu, mais son attitude défie les lois de notre ordinaire. Qu’est-ce que ça cache ? Perplexe et sur mes gardes, j’obtempère et sélectionne trois unités, puis me dirige vers la cabine. Celle-ci est unique et donne directement sur l’aire de vente ; elle est vaste et équipée d’une porte. Elle est libre ; au demeurant, il y a peu de monde dans le magasin : c’est manifestement une heure creuse. Complètement frappé, mon bonhomme ! Lui qui n’assiste jamais à mes essayages, se targue de donner son avis ; et pour mieux se rendre compte, il insiste pour que j’ôte ma robe, s’il vous plaît, quand bien même ma poitrine serait libre. Ce modèle de jupe ne me va pas mal du tout ; la deuxième que j’ai essayée est sans doute la mieux à ma taille. J’envisage de la réessayer et m’apprête à ôter celle que je porte quand Greg me bouscule et me coince dans l’angle de la cabine. — J’ai envie de toi, me balance-t-il dans un souffle. Ça fait plus d’un mois qu’on n’a pas fait cric-crac ; si vous ajoutez le lieu, avouez qu’il y a de quoi être abasourdie. Je vérifie, et de fait il est dur, très dur. Même ...
    ... s’il n’est pas énorme. Mais il est vrai que depuis quelque temps, je suis un peu déboussolée ; mes références et mes repères sont en pleine restructuration. Quoi qu’il en soit, il bande. Il me fait des bisous partout sur le visage et dans le cou, et ses mains ne sont pas en reste. Je ne suis pas chienne, ou bien le suis-je ? Toujours est-il que je lève la jambe puis l’autre, tout ceci afin de l’aider à s’emparer du butin dont il embarque la défroque, non sans quelque dédain. — Tu pourrais pas trouver plus sexy ? Quand je vous disais qu’il ne me regarde plus ! Ça fait des années que je suis abonnée à ce genre de dessous et il lui a fallu attendre dix ans avant de me faire sa remarque. Il est vrai qu’il ne les voit pas beaucoup : il se couche toujours deux ou trois heures après moi, si pas plus. Alors… Bon, ce n’est pas le moment de récapituler mon réquisitoire. Procédons par ordre. — Ferme la porte ! Elle ouvre vers l’extérieur, il faut plus que tendre le bras ; quand il s’en revient, il est déjà débraguetté, sexe brandi. Il retrousse ma jupe et me pénètre. C’est un rapide, mon Greg, et une force de la nature : il supporte tout mon poids. Je plaisante… Je contribue à cette précipitation car, tout comme lui, le désir m’embrase ; il y a du piquant dans ces amours subreptices. Pas si clandestines que ça, malheureusement : on frappe plusieurs fois à la porte ; les coups sont forts, alarmants. — Ouvrez, s’il vous plaît. On obtempère à la deuxième sommation ; entre temps, j’ai réenfilé ...
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