1. Le contrat


    Datte: 08/11/2019, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, Collègues / Travail fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, Oral fdanus, hdanus, confession, occasion, extraconj,

    ... aussi ressentait une certaine émotion. Après tout, flirter avec un pimpant jeune homme, je n’étais pas si mal à l’époque, pouvait ne pas déplaire à cette jolie mère de famille, peut-être un peu lassée des routines du couple. Elle passa devant moi pour descendre les escaliers menant au premier sous-sol, et au passage je repérais que les deux derniers boutons de sa jupe étaient défaits, dévoilant sa jambe jusqu’à mi-cuisse quand elle avançait le pied. Et aussi le bouton du haut de sa légère robe d’été me permettant, placé derrière elle, de plonger dans son décolleté jusqu’à la dentelle du soutien-gorge. Aujourd’hui encore, je me rappelle de tout, je revis la scène comme si c’était hier, je m’y revois, j’y suis. On arrive devant l’ascenseur, que j’appelle, et on se retrouve face à face. Le petit couloir est désert et j’en ai trop envie. Je pose mes mains sur ses bras et la douceur de sa peau me la fait désirer encore plus. Je la caresse en remontant vers ses épaules, elle me regarde de ses grands yeux comme remplis de défi. La plaquant contre moi, je colle ma bouche à sa nuque, la léchouillant d’une langue gourmande. Elle se laisse faire, je sens la pression de ses seins contre ma poitrine. L’ascenseur arrive, je la pousse dans l’étroite cabine. Pendant la courte descente, placé derrière elle, je continue à dévorer sa nuque duveteuse, je plaque mon ventre contre ses fesses pour lui faire sentir la roideur de mon désir et j’ose passer mes mains par-devant pour saisir ses ...
    ... seins à pleines mains, pour les presser, les soulever pour en sentir le volume, le poids. Dans une secousse, la cabine s’arrête et elle pousse la porte, échappant à mes mains. Nous sommes maintenant redevenus deux piétons marchant côte à côte pour aller vers ma voiture, garée tout au fond, derrière un gros pilier qui la cache en partie. Arrivés là, je déverrouille et lui ouvre la porte arrière droite. Elle s’installe dans la voiture me dévoilant malgré l’éclairage parcimonieux du parking ses cuisses blanches et son décolleté. Faisant le tour par l’autre côté, je monte dans la voiture par la gauche, et la portière claquée, nous voilà installés comme deux passagers à l’arrière d’un taxi, pour un petit voyage vers le plaisir. Sans un mot, car je ne suis pas là pour draguer, je la prends fébrilement dans mes bras et cherche tout de suite sa bouche qu’après une légère hésitation elle m’abandonne avec docilité, laissant ma langue jouer avec la sienne. Fou de désir, j’aspire sa salive en pétrissant ses seins, je lèche à nouveau sa nuque, ses bras, puis, toujours pressant ses seins, je soulève son bras gauche, le plus proche de moi, dévoilant son aisselle à laquelle je colle ma bouche après en avoir respiré l’odeur intime, excitant mélange de parfum et d’odeur corporelle, léchant les courtes repousses de poils que je sens darder sous ma langue… Quand je reviens à sa bouche en commençant à déboutonner le haut de sa robe, est-ce une impression, je crois la sentir se détendre et, mieux, ...
«12...91011...21»