Le contrat
Datte: 08/11/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
poilu(e)s,
Collègues / Travail
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
ffontaine,
Oral
fdanus,
hdanus,
confession,
occasion,
extraconj,
... yeux, avec un petit sourire, elle avait ajouté : — Ce serait notre contrat. Ça vous ira ? J’en avais le cœur à toute allure, les mains moites et le désir au ventre. Elle avait pris mon silence pour une hésitation, s’était levée et avait marché vers la porte. Elle avait vraiment des jambes superbes et un cul…, oui, j’avais hâte de découvrir tout ce qu’elle cachait sous sa jolie robe d’été. Elle s’était retournée avant de sortir, et avec un sourire se voulant séducteur, car elle devait sentir que c’était presque gagné, elle m’avait susurré : — Je vais vous laisser vous décider. D’une voix enrouée par l’excitation, un peu précipitamment, je répondis : — Mais… pas la peine… je suis décidé, c’est-à-dire… j’accepte le contrat que vous me proposez ! Ma voiture est dans le parking à côté et mon hôtel en centre-ville, ce n’est pas loin, nous pouvons…— Euh… non, pas à l’hôtel… Elle triturait ses mains et je voyais sa poitrine se soulever. Avec ses joues rosies par l’émotion, et un air à la fois soumis et provoquant, elle était belle ainsi. Je crus comprendre. L’hôtel, ça faisait vraiment adultère, prostitution, hôtel de passe… Une idée coquine me traversa l’esprit. Mais oui, après tout ça pouvait être encore plus excitant que l’hôtel où j’aurais eu l’impression de monter pour une séance tarifée. Ce que je n’avais jamais fait, n’imaginant pas que de telles conditions mercantiles auraient pu m’exciter. Non, il fallait autre chose, plus raffiné, avec un côté un peu furtif, pour augmenter ...
... l’effet « fruit défendu ». — Ma voiture est garée au fond du parking en sous-sol, à un emplacement très discret. Nous pourrions… y passer un moment, si ça vous convient… Elle hésita un court instant, puis se décida : — Eh bien, d’accord. Je vais passer fermer mon bureau et je vous propose de vous rejoindre à l’entrée du parking, disons dans dix minutes. C’est bien celui au coin de la rue X… ? Il faisait encore chaud dans les rues et j’attendais devant l’escalier du parking depuis cinq bonnes minutes, qui m’avaient paru très longues, dans mon état d’excitation. J’étais arrivé jusque-là avec une démarche me semblant empruntée, du fait de l’irrépressible érection qui me gênait aux entournures, que je tentais de cacher sous ma veste, avec l’impression que tous les gens que je croisais s’en apercevaient. Mon cœur se mit à battre plus vite, elle arrivait, là-bas, au coin de l’autre rue. Elle avançait de la démarche un peu nonchalante de ses jolies jambes, perchée sur ses hauts talons, balançant ses bras nus, sa poitrine remuant doucement au rythme de ses pas, et moi je l’attendais, avec le désir noué. Le vieil adage me revint : Quand elle parvint près de moi, je perçus les effluves de son parfum et remarquais le maquillage de ses yeux, qu’elle avait dû accentuer. Je lui trouvais un air mystérieux et un regard troublant, mais c’était peut-être du fait de ma propre excitation. D’une voix qui me parut un peu enrouée, elle me dit : — Voilà. Nous y allons ? Je vous suis. Peut-être elle ...