1. Le contrat


    Datte: 08/11/2019, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, Collègues / Travail fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, Oral fdanus, hdanus, confession, occasion, extraconj,

    ... Elle portait un pull fin en jersey, à manches longues et un peu flou, dont la mouvance soyeuse ne faisait que souligner sa poitrine, qui y pointait et remuait doucement, même maintenue par le soutien-gorge. Dans le bureau où maintenant il faisait chaud, j’imaginais sous la maille portée à même la peau l’intimité troublante de la moiteur parfumée de l’aisselle. Et comme le décolleté était en pointe, elle n’avait pas besoin de se pencher très bas pour me révéler les globes laiteux de ses seins frémissant dans la dentelle du balconnet. Ah, le charme des décolletés ! Je me suis souvent demandé si les femmes se doutaient vraiment de certaines visions furtives qu’elles nous offrent, avec des angles de vue qu’un œil aussi affûté que curieux ne peut rater. Ce sont les indécentes surprises de la révélation fugitive d’un endroit devant rester secret qui font le charme de ces coups d’œil involontaires… ou attendus. Ils se glissent par diverses voies, la plupart du temps par-dessus le vêtement, robe, tee-shirt, chemisier, mais aussi par le côté, par des échancrures, par des interstices, par des déboutonnages plus ou moins volontaires, et nous dévoilent dentelles et formes pulpeuses, parfois jusqu’à deviner une indiscrète naissance de tétine quand les bonnets du soutien-gorge baillent. La question est de savoir jusqu’où ces petits dévoilages peuvent être plus ou moins volontaires. Le mystère de la femme… Dans le même esprit, sous un autre angle, j’ai encore aujourd’hui un souvenir de ...
    ... prime jeunesse, du temps heureux des deux-chevaux Citroën, les fameuses « deux pattes ». Les premiers modèles, que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, comme dirait un certain Aznavour, étaient équipés à l’avant de portières s’ouvrant dans le mauvais sens pour la sécurité. Et quand les femmes au volant en sortaient, surtout avec une jupe large, nous, les adolescents de l’époque, appelions ce spectacle un « cinéma ». Quand une jolie conductrice garait sa « deuche », l’un d’entre nous annonçait « attention, cinéma, là-bas »… La portière ouverte, il suffisait d’être bien placé, le temps d’une seconde. Sagement sans s’en douter ou bien en coquine le sachant très bien, la dame ouvrait ses jambes pour sortir de l’inénarrable engin, dévoilant sa culotte aux gamins excités que nous étions. Et dans les meilleurs cas, certaines transparences pouvaient se révéler suggestives… À la comptabilité, pendant cette séance de travail de l’après-midi, elle avait été souriante, elle se livrait un peu, nous avions au passage discuté de sujets plus personnels, comme des gens qui lient connaissance. J’observais ses mains, longues et fines, sans fioritures à part une discrète alliance d’or blanc. Je connaissais leur contact un peu osseux et la douceur de leur peau quand je lui serrais la main le matin, et ne pouvais m’empêcher de les imaginer dans des situations plus intimes, prodiguant des caresses. Et quand nous nous retrouvions au-dessus de son bureau pour examiner ensemble un document, ...
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