1. Le contrat


    Datte: 08/11/2019, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, Collègues / Travail fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, Oral fdanus, hdanus, confession, occasion, extraconj,

    ... tête pendant une partie de la nuit. L’alternative n’était-elle pas cornélienne ? D’un côté, sur le plan de l’éthique professionnelle, évident, il fallait dénoncer cette escroquerie. Mais faire mon rapport à la direction ferait licencier la comptable dans l’heure, avec en plus une plainte au pénal, un casier judiciaire, la honte… Et mes hésitations n’étaient pas dues à la seule inclination que j’avais pour ses charmes. Faire jeter un salarié à la poubelle ne correspondait pas trop à mes idées au plan social, j’avais trop souvent vu le jeu de l’individu broyé par le système, pot de terre contre pot de fer… Qu’est-ce que j’allais faire ? Non, je ne pouvais pas me décider à la dénoncer in petto à sa hiérarchie. Trop froidement dégueulasse. Non, il fallait d’abord en parler avec elle. Mais pour lui dire quoi ? Qu’elle pourrait rembourser cet « emprunt » à la société ? Et dans ce cas être traitée avec peut-être une certaine bienveillance, voire passer l’éponge eu égard à son sérieux et à son ancienneté dans l’entreprise ? Bien sûr, une pensée perverse n’avait pas arrêté de m’effleurer, puis de carrément m’obséder. La belle comptable était en mon pouvoir, il aurait été facile d’imaginer la contraindre, la soumettre, assouvir mes désirs… L’imagination courait, je la voyais, suppliante, prête à tout accepter et moi lui demandant de venir me rejoindre le soir à mon hôtel. Elle entrerait dans la chambre, craintive et rougissante, me laisserait l’embrasser dans le cou, respirer le ...
    ... parfum de sa nuque veloutée et caresser ses bras nus. Puis ma bouche remonterait jusqu’à la sienne et docile elle ouvrirait ses lèvres pour accueillir ma langue, pendant que mes mains auraient déjà commencé à soupeser puis à pétrir ses seins. D’elle-même, très soumise, elle aurait dégrafé sa robe et abaissé ses bretelles de soutien-gorge pour libérer sa poitrine et l’offrir à mes caresses et mes baisers. J’aurais senti ses tétines durcir sous ma langue, indiquant qu’elle ne restait pas insensible à mon désir. Puis j’aurais troussé sa jupe afin de caresser et embrasser ses cuisses douces, agrippé et abaissé sa culotte pour dévoiler ce triangle de poils, cette chatte que j’imaginais en la regardant chaque jour. Elle se serait alors allongée sur le lit pour m’ouvrir docilement ses cuisses et me permettre de découvrir ce dont je rêvais depuis des jours, l’odeur et le goût de son sexe. Et toute respectable mère de famille qu’elle était, se livrant par devoir à ma concupiscence, elle aurait gémi sous les assauts de ma langue parcourant son entrejambe, pénétrant son intimité humide, remontant jusqu’à son petit trou secret, et puis… Non ! Merde ! Stop ! Arrête tes conneries, même si tu en as très envie. Tu ne vas pas te comporter en salaud, et le chantage n’est pas ton truc. D’abord, tu n’oserais jamais un truc comme ça. Et de plus, tu n’as pas encore envisagé de déjà tromper ta femme, et ce n’est pas tout de suite que ça va commencer ! Gâcher sa vie pour tirer juste un coup, non merci ! ...
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