Évolution d'une femme
Datte: 08/11/2019,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
hotel,
amour,
massage,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... mignonne. Tu cours toujours deux fois par semaine en plus des heures de gymnastique en cours du soir ? Ta silhouette prouve tes efforts. Je te trouve très classe et je t’apprécie beaucoup. Tu pourrais enfin savoir si tu jouirais plus avec un autre homme que Pascal.— Je ne veux pas tromper Pascal. La vie avec son nouveau boulot où il doit encore faire ses preuves est déjà assez compliquée comme ça. Je ne lui mentirai jamais. En plus, il ne va pas très bien en ce moment, il a fait une crise d’hypertension aigüe. Par bonheur, il n’a pas de symptôme marqué. Quand il fait une crise, ça ne se voit pas : c’est en prenant sa tension pour vérifier son traitement qu’il a trouvé une maxi à plus de 22 ! Le problème, c’est que le traitement que les médecins lui imposent l’épuise encore plus. En fait, pour lui, le vrai drame, c’est qu’avec ces médicaments ses érections ne tiennent pas. On commence à faire l’amour. Pendant les préliminaires, tout va bien, mais quand il me pénètre, son sexe devient de moins en moins rigide, et même après deux ou trois minutes, complètement mou. Il n’a pas le temps de jouir ; quant à moi, ça ne change pas grand-chose en fait. Son moral est au plus bas, tu imagines bien, ne plus pouvoir bander alors que dans la tête, tu as envie ! Et sa fierté qui en a pris un sacré coup… Ce n’est vraiment pas le moment de venir, la bouche en cœur, lui rappeler qu’il pensait me partager avec un autre homme !— Oui, évidemment. Mais toi, si Pascal était d’accord, j’ai bien ...
... senti que je ne t’étais pas indifférent ! Reconnais que notre baiser t’a excitée et que tu n’aurais pas été malheureuse de passer un moment entre mes bras.— Je ne veux pas l’envisager. Pourtant, si ça devait arriver, il n’y a qu’avec toi que quelque chose serait possible. Qu’est-ce que je raconte ! Si je lui donne de l’espoir, il ne va plus me laisser tranquille. Quelle galère ! On s’entendait si bien… Je pensais même lui faire rencontrer Pascal. Nous nous sommes séparés un peu confus, mais surtout sur un petit nuage pour le projet qu’on venait de réussir à ficeler. Je suis rentrée chez moi. Marc a mis trois mois à me convaincre et il a fallu l’intervention de mon mari, à qui je racontais toutes ses tentatives, pour que j’admette que faire l’amour avec Marc pourrait me faire du bien sans le blesser, lui. J’ai eu droit à un festival de contacts de plus en plus intimes. Au début, c’étaient des frôlements d’épaule, de bras, des doigts, tout en parlant d’autre chose, puis en évoquant des émotions liées au sexe, à des positions, des goûts. À la fin, il arrivait à se poster derrière moi, en contact étroit pour bien me faire sentir son érection entre mes fesses ! Je n’aurais pas imaginé être autant désirée, convoitée, entourée d’attentions. Le vernis de mes certitudes s’est effrité sous ses efforts et les discours lénifiants de mon mari. Un jour, j’ai dit oui. C’est lors du déjeuner que Marc m’entraîna dans une brasserie proche de nos bureaux et qui avait l’avantage d’avoir des chambres ...