1. Évolution d'une femme


    Datte: 08/11/2019, Catégories: fh, fagée, extracon, cocus, Collègues / Travail hotel, amour, massage, Oral pénétratio, extraconj,

    ... en étage. Nous n’avons même pas mangé ! Il était tellement pressé qu’il m’a entraînée dans une chambre sans me demander mon avis. Ceci dit, il m’avait bien chauffée par ses attentions habituelles couronnées par quelques baisers brûlants. La chambre était nulle. Je me sentais moche, je ne comprenais pas que ce beau mec de 38 ans, friqué, intelligent, s’intéresse à une femme de 46 ans, sportive bien sûr, mais pas franchement belle ! Ça a été incroyable. Je reconnais qu’il m’a fait redécouvrir ce qu’est un orgasme. Même plusieurs, d’ailleurs. Il m’a amenée dans cette chambre pratiquement en me tirant par la main. J’avais peur de tout : ne pas lui plaire une fois nue, ne pas le satisfaire, le décevoir ; peur aussi de ne pas supporter son corps sur moi. Une fois dans la chambre, il m’a embrassée et ça m’a rassurée. Je le sentais fébrile, enthousiaste. Ses mains ont commencé un ballet autour de mon corps qui m’a complètement étourdie et je n’ai pas compris comment je me suis retrouvée sur le lit, nue, avec sa langue enfoncée dans ma chatte et ses mains qui me fouillaient le petit trou, les seins, le ventre. J’ai déjà failli jouir dès ce moment-là. Lorsqu’il s’est retiré, je me suis occupé de lui. Son sexe était sensiblement similaire à celui de mon mari, mais il bandait sauvagement. Il avait l’air dur comme du bois ! Je l’ai pris en main, puis en bouche, ce qui m’a confirmé la fermeté de l’instrument. Alors je lui ai demandé de me pénétrer. Quelle santé ! Il m’a prise au moins ...
    ... dans six positions et j’ai eu des orgasmes dans quatre d’entre elles. Lorsque je l’ai chevauché – c’est ma position préférée –, quand il m’a prise en levrette – grand moment –, en cuillère puis en missionnaire avec mes jambes relevées sur ses épaules. Les draps étaient trempés. On n’est revenus à l’usine que vers quatre heures. J’ai été obligée de reconnaître que je n’avais jamais joui comme ça, même avec mon mari à nos débuts. Marc semblait avoir un génie particulier pour s’enfoncer en moi lorsque je ne m’y attendais pas. Nous avons fait l’amour ainsi au moins trois fois par semaine pendant quatre ans, et il m’a fait jouir à chaque fois. J’en venais à attendre avec impatience l’heure de midi pour rejoindre notre brasserie ! Je ne me reconnaissais plus : moi, si peu intéressée aux choses du sexe avant lui, j’y pensais de plus en plus souvent. Par contre, je n’ai jamais accepté la sodomie. J’aimais beaucoup qu’il caresse, voire qu’il lèche mon petit trou, mais j’ai toujours refusé toute pénétration par là. J’avais essayé une fois avec mon époux. Il avait profité d’une séance particulièrement torride où, alors qu’il me prenait par derrière, mon sexe débordait de jus au rythme de ses poussées. J’entendais des floc-flocs trempés et la cyprine giclait et nous mouillait tous les deux. Il ne m’a pas vraiment proposé d’essayer une sodomie, il m’a carrément suppliée de me laisser faire. J’avais la tête dans les nuages, tout mon corps tremblait d’excitation ; je n’ai pas voulu tout gâcher ...
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