1. Esprit, où es-tu ?


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fh, jeunes, grosseins, humilié(e), cérébral, entreseins, Oral nopéné, fantastiqu, sorcelleri,

    ... t’aider maintenant ! Demain matin, promis, je te filerai un coup de main. Je peux te déposer à l’hôpital, c’est sur mon trajet. Il me mitraille du regard et grimace de douleur lorsqu’il me ditd’alé me fer fout’ avec sa langue partagée en deux. — Pardonne-moi Frankie, m’excusé-je en essayant de capter son regard, mais il se détourne et me tend son majeur par-dessus son épaule. J’ai une attitude dégueulasse, j’en ai pleinement conscience, mais je dois partir ! Il faut que je sache si Pauline va bien. Je marche jusqu’à ma voiture sans me retourner. J’entends les sanglots de mon ami dès qu’il comprend que je ne reviendrai pas sur ma décision et que je l’abandonne, seul. Je me sens égoïste par convention sociale alors qu’à cet instant, au plus profond de moi, je me tape royalement de mon meilleur ami et de sespetits problèmes. De toute manière, comment pourrais-je lui venir en aide ? Où chercher Mélanie ? Nous ne sommes pas dans un village, mais dans une ville qui compte plus de cinq cent mille habitants. Je me glisse à l’intérieur de la Clio et fais marche arrière après avoir jeté un rapide coup d’œil dans le rétro. Frank n’a pas bougé de l’endroit où il se tenait. Il ne me prête plus attention, ce qui me serre le cœur. o000o Je ne peux m’empêcher de penser à mon pote et de me répéter que je ne suis qu’un salaud de l’avoir abandonné à son désespoir. J’allume la radio pour me changer les idées. La bande FM ne diffuse, comme c’est souvent le cas, que de la musique formatée. Je ...
    ... l’éteins et me force à penser à Pauline. J’imagine ses yeux rieurs, ses lèvres pulpeuses et… Sa poitrine surgit soudain dans mon esprit et, bien vite, mon cerveau fatigué par cette nuit démentielle laisse les commandes à mon second cerveau, celui qui se trouve quelques étages plus bas. Ma tête est enfouie entre ses deux collines. Je suis bien ! Dans un cocon chaud et moelleux. Les doigts de Pauline se faufilent dans mes cheveux et glissent jusqu’à ma nuque. Ses mains sont douces et cette caresse me procure de délicieux frissons. Je me redresse, contemple un long moment son opulente poitrine, la bave aux lèvres.Pour me taquiner, ou bien est-ce une invitation, Pauline s’empare de ses tétons et les roule entre ses doigts. Son regard se plante dans le mien, puis ses yeux descendent vers mon entrejambe ; et là, en apercevant ma queue, ma Pauline s’humecte sensuellement les lèvres avec sa petite langue rose.Je glisse la tête entre ses seins et les embrasse tendrement. Puis, saisi de frénésie libidineuse, je lèche, je mordille, j’aspire, je suce les pointes tendues.Pauline pose délicatement la main entre mes jambes… Le cerveau du bas est plutôt efficace ! Je bande comme un âne dans la voiture et j’ai presque envie de m’arrêter dans une ruelle pour me soulager en imaginant la suite de mes élucubrations érotiques. Je vois déjà mon sexe qui coulisse entre ses seins qu’elle comprime. Je vois sa langue gourmande qui jaillit chaque fois que ma queue, coincée dans ce délicieux fourreau, ...
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