1. Esprit, où es-tu ?


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fh, jeunes, grosseins, humilié(e), cérébral, entreseins, Oral nopéné, fantastiqu, sorcelleri,

    ... déborde de ma main. Je le cajole, le malaxe et introduis ma seconde main sous le tee-shirt pour ne pas faire de jaloux. Je passe de longues minutes à tripoter ses nénés avant de relever le dernier rempart qui m’empêche de les contempler, ce que j’attends depuis tellement longtemps. Je les détaille comme une œuvre d’art dans un musée. Je suis subjugué par leur grosseur et leur fermeté. Malgré leur étonnant volume, ils restent haut perchés et j’observe les tétons qui, sous l’effet de mes caresses, se sont érigés. J’embrasse ses seins, lèche les aréoles et suce leurs pointes avec avidité. Les mains de Pauline ne restent pas inactives et s’immiscent sous mon tee-shirt où elles jouent un moment avec les poils de mon torse. Puis elles se dirigent sur mon ventre et s’y attardent. La douceur de ses mains, à l’approche de mon pubis, provoque le réveil de mon fidèle soldat qui se met au garde-à-vous, prêt à engager les hostilités. À l’instant où ses mains franchissent l’élastique de mon boxer, je suis au paradis. Ses doigts courent un instant sur ma queue et me procurent d’exquises sensations. Quand ils se referment autour de mon sexe, je suis dans un état second. Pauline me masturbe lentement tandis que j’honore toujours ses lolos avec la langue ou la bouche. Elle pousse de petits soupirs qui m’invitent à poursuivre mes caresses. Alors, je ne me fais pas prier : je lape, suce, tète, malaxe, soupèse, comprime, étire, triture… Elle se lève de sa chaise et me tend la main pour ...
    ... m’inviter à la suivre. Elle est magnifique, torse nu, avec sa paire de seins qui aimante mon regard. Dans sa chambre, elle me pousse sur le lit où je m’échoue, sur le dos, à sa merci. Elle déboutonne mon pantalon, le fait glisser le long de mes jambes. Mon pénis, sous mon boxer, forme un chapiteau au sommet duquel Pauline dépose un baiser mouillé. Puis un autre. Ma queue tressaute au contact de ses lèvres puis elle se relève et m’abandonne, là, sur le lit, le pénis droit et raide comme la Justice. Devant ma mine tristounette, elle me rassure : — Je vais mettre un peu de zic, t’inquiète. Après, je te fais ta fête. Un large sourire béat apparaît sur mon visage et je lui réponds que cela me convient lorsqu’elle me suggère qu’on écouteIn Rock deDeep Purple. Elle sort de la chambre et je prends soudain conscience de sa nudité ! Tellement obnubilé par ses énormes obus, je n’ai même pas remarqué qu’elle ne portait pas de culotte ! Je manque à tous mes devoirs, je ne sais même pas si sa chatte est glabre ou velue ! Dès qu’elle va revenir, je vais rectifier le tir… o000o Son pubis n’est pas lisse comme celui de Mélanie. Un léger triangle de poils taillés court orne sa motte. Dans les mains, elle tient un vinyle (décidément, j’adore cette nana) et s’approche de la commode sur laquelle trône une platine encadrée par deux enceintes. Le disque émet le craquement que j’aime tant et des baffles jaillissent les premières notes deChild in Time. Pauline s’avance langoureusement vers le lit. Ses yeux ...
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