1. Esprit, où es-tu ?


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fh, jeunes, grosseins, humilié(e), cérébral, entreseins, Oral nopéné, fantastiqu, sorcelleri,

    ... Mélanie et ce que cela implique. Je me contente donc de l’observer (d’accord, l’observation se transforme parfois en intense matage, mais il faut bien s’occuper quand les gens sont peu loquaces) et, au moment où elle se penche pour récupérer un paquet de biscuits sous sa plaque chauffante, je me dévisse le cou pour parvenir à essayer d’entrevoir le galbe de ses fesses. Je ne vois rien ! Ce con de tee-shirt s’est contenté de recouvrir sagement son postérieur. Mon imagination prend alors le relais et des images de strings affriolants se bousculent sous mon crâne. Un string ? Peut-être rien du tout ? Je vois la ficelle qui fend son postérieur et mon esprit essaie de se représenter la forme et la couleur de la partie qui masque le pubis… — Ohé ! Allô ! Allô ! Y’a quelqu’un ? s’agace-t-elle.— Oui, excuse-moi. Je rêvassais. Je suis crevé. J’ai pas dormi de…— Pourquoi t’es pas allé te coucher ? Ça aurait évité que tu me réveilles, m’assène-t-elle un peu sèchement.— Pauline, écoute… Si je suis là, c’est parce que…— Parce que tu espérais probablement dormir dans mon lit. Je suis interloqué et reste interdit en la fixant avec des yeux incrédules avant de bredouiller : — C’est pas ça ; enfin si… j’aurais bien aimé ta proposition… Mais pour l’instant, Frank est dans la merde. Et nous aussi ! Je sais pas comment…— Qu’est-ce qu’il se passe ? s’enquiert-elle, inquiète.— Mélanie a disparu. Elle était avec Frank et elle s’est enfuie…— Elle a peut-être tout simplement été aller faire un tour ...
    ... pour être un peu tranquille. Pour se retrouver seule. Avec ce que nous avons vécu cette nuit, une promenade matinale lui aura probablement fait le plus grand bien, puis…— Non, Pauline, la coupé-je. Ça s’est pas passé comme ça ! Mélanie a pris la fuite après que le… le… lachose prenne à nouveau possession de son corps. Frank en est tout retourné et j’ai l’ai abandonné à l’hosto, tout seul. De la compassion et de la crainte naissent sur le visage de Pauline. À cet instant, je sais qu’elle ne m’en veut plus. Elle fait partie de notre groupe. C’est dorénavant notre amie et elle ne nous laissera pas tomber. Du moins, c’est ce que je pense. Je lui raconte avec de plus amples détails ce que m’a décrit Frank et, au milieu de mon récit, elle s’est approchée de moi et prend de temps en temps ma main dans la sienne. À la fin de mon soliloque, ses lèvres sucrées frôlent les miennes. o000o Le premier baiser est chaste, un léger bécot de préado. Quant au second, il est torride ! La langue de Pauline s’infiltre dans ma bouche et s’entortille autour de la mienne. Je la serre dans mes bras et nous nous câlinons en continuant à nous rouler des pelles. Quand nos lèvres se séparent, Pauline s’écrie : — Ça faisait longtemps que j’en avais envie.— Moi aussi, réponds-je en l’embrassant encore et encore. Puis tout s’est enchaîné à la vitesse de la lumière. Ma main sous son tee-shirt qui tâte un bref instant son ventre plat avant de remonter vers sa poitrine tant convoitée. Son sein, rond et lourd, ...
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