1. Le premier venu


    Datte: 09/11/2019, Catégories: petitseins, fh, hplusag, Oral pénétratio, ecriv_f,

    ... faire ce matin là et je ne suis pas très douée pour me débarrasser de ce genre de type. Nous étions assis face à face depuis un bon moment, lui faisant son monologue et moi hochant de la tête par politesse, lorsque je m’aperçus que ses yeux revenaient régulièrement sur ma poitrine. Certes, ma robe de chambre était entrouverte et ma chemise de nuit était peut-être légèrement transparente. Ceci dit, il n’y a pas péril en la demeure, dans la mesure où je suis plate comme une limande, presque encore plus que Jane Birkin. Que pouvait-il voir avec ses deux gros yeux ronds, sinon deux bouts de tétins sans originalité ? Curieux personnage qui semblait fasciné par mon absence de poitrine ! Pourtant, à cette évocation, son intérêt pour mes tétés m’excita malgré moi et je sentis mon intimité soudain s’humidifier. Est-ce aussi à cause de cette autre dispute : La fois où Tonio m’avait dit qu’il ne s’étonnerait pas de me retrouver un jour dans les bras du facteur ! Et puis, il y avait aussi cet air méprisant qu’il prenait désormais pour me faire remarquer que je n’avais pas de seins, lui qui les trouvait pourtant si « mignons » au début de notre union. Histoire de dire : « T’as pas de nichons, t’es même pas une vraie femme » J’ai proposé un autre café à Roger, mon voyeur de colporteur. Tout en me rasseyant, j’ai prétexté la chaleur pour retirer ma robe de chambre. Cette chemise de nuit était-elle véritablement transparente ? C’était pas flagrant, si elle l’était un peu, c’était braiment ...
    ... très léger. Mais, peut-être qu’inondée pas la lumière du soleil qui filtrait à travers la fenêtre… « Sacré Roger, il faut pas que tu le sache mais j’ai très envie que tu me baises », me surpris-je à penser. Qu’est-ce qui t’arrive ma pauvre, toi qui a toujours été très fidèle et très fleur bleue ? Surtout avec ce vieil obsédé qui a presque l’âge de ton père, t’es complètement folle ! — Vous les aimez mes seins ? Ces mots étaient sortis de ma bouche, involontairement, presque malgré moi, comme si une étrangère avait soudain pris possession de mon corps. Je m’en voulais pour ça. Et ça avait cassé l’ambiance. Notre orateur insatiable avait soudain perdu le fil de ses pensées et sa superbe avait fondu comme neige au soleil. Il s’était égaré quelque part entre mes yeux et mes tétons, comme pétrifié par mon d’audace. Et ce n’est qu’au bout d’un temps infini qu’il bredouilla maladroitement ! « Oui, ils sont très beaux ». — Vraiment ? Vous trouvez ? Vous voulez les voir ? Et, sans lui laisser le loisir de répondre j’entrepris de dégrafer les trois boutons qui l’éloignaient du spectacle. Je n’avais encore jamais fait ça avec quiconque. Je ne suis pas exhib pour deux sous et n’ai guère de moyen de l’être. Mais, une fois partie, nul ne pourrait plus me retenir. J’avais envie de baiser, de me faire baiser, de me donner comme une pute. Ce type n’était pas beau, pas jeune, pas riche, mais j’avais envie de lui. Il aurait été sale et malodorant, je crois que j’aurais fait de même. J’ai fait ...