1. Le premier venu


    Datte: 09/11/2019, Catégories: petitseins, fh, hplusag, Oral pénétratio, ecriv_f,

    ... glisser la nuisette le long de mes épaules pour dévoiler ma poitrine entièrement nue. — Alors, qu’en dites vous ?— …— Vous n’êtes pas très loquace, ai-je crû bon d’ajouter avec une pointe d’agressivité… (Allez bonhomme, lève-toi et viens me les toucher !) Les hommes sont souvent plus fort en gueule qu’en action et celui-ci n’échappait pas à cette règle. Il mit un temps infini à se redresser, à faire le tour de la table, à venir me les toucher. Alors que moi je m’attendais à être violentée et à passer à la casserole dans les plus brefs délais. Après m’avoir longuement bouffée du regard, il me bouffa finalement à pleine bouche. Lorsque sa langue s’immisça fermement dans ma bouche, je reçus de plein fouet toutes ses vapeurs d’alcool. Mais, loin de me dégoûter cela m’excita un peu plus. Mes tétons bandaient et ma chatte ruisselait. Ce parfait inconnu me mettait vraiment dans tous mes états. Je n’avais jamais été autant excitée avec Antoine. Pour retrouver pareille sensation, il me fallait remonter à cette aventure sauvage que j’avais eue avec un contremaître alors que je travaillais en intérim dans une fabrique de manteaux… Et de sentir sa grosse avide aspirer avec force mes petits tétons, je me suis sentie traversée par des ondes de jouissance. Je n’en pouvais plus d’être ainsi tétée, j’étais à fleur de peau. Par la suite, il lui fallut peu de temps pour m’arracher complètement la nuisette. J’étais debout contre le mur, complètement à sa merci et disposée pour tous les ...
    ... sévices. Il l’avait bien compris d’ailleurs. Il glissa une main experte entre mes cuisses et introduisit un premier doigt dans mon sexe humide et chaud. Il commença un va-et-vient agile qui m’arracha rapidement de premiers gémissements. J’étais debout, embrochée à ses phalanges qui s’affairaient grossièrement en moi. Mes jambes flageolaient et j’avais l’impression que tout mon jus de femme dégoulinait le long de mes cuisses, comme autant de preuves de mon état d’excitation Il me poussa soudain contre la table, ses doigts toujours en action. J’étais excitée comme une puce. Il me bascula sur la table glacée, sans prendre gare aux tasses qui, malmenées, allèrent exploser contre le sol dans un bruit d’apocalypse. — Petite coquine. Avoue que tu avais envie que je m’occupe de toi. Je lui ai crié un « oui » à la limite de l’orgasme. Après tout « coquine » c’est quand même mieux que « salope » et c’est plutôt plaisant. Il comprit alors que j’allais jouir très vite et il stoppa de suite son va-et-vient pour me faire languir un peu plus. Après m’avoir lentement caressée partout, et excité tous mes nerfs, me remettant dans tous mes émois, il replongea entre mes cuisses et entreprit de me lécher avec ferveur. Quelques coups de langues plus tard et j’explosai avec force, expulsant hors de moi deux longs jets de cyprine qui aspergèrent sans crier gare mon divin maître-dévoreur. Les spasmes succédèrent aux spasmes, tandis que cette langue divine redoublait entre mes cuisses. Je n’en pouvais plus. ...