1. Un conte de Noël (1)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... mots. Alors je l’ai attrapée par les hanches, et c’est ce que j’ai fait, je l’ai baisée fort. Sarah criait maintenant, et risquait réellement de rameuter le reste de la famille. Un risque que nous ne pouvions pas prendre ! — Moins fort ! lui ai-je dit à voix basse. — C’est trop bon ! Fais moi taire ! On ne m’avait encore jamais dit ce genre de chose au lit. Un peu pris de court, j’ai plaqué ma main sur sa bouche. Mais clairement, ça ne marchait pas, et je préférais garder mes deux mains sur ses hanches pour la prendre comme il faut. Puis j’ai trouvé à côté de nous sa petite culotte encore mouillée. Sans réfléchir plus longtemps, j’ai fourré le bout de tissu dans sa bouche. Clairement, ça ne changeait pas beaucoup au volume sonore qu’elle produisait, mais c’était tellement excitant de la voir avec son morceau de culotte dépassant d’entre ses lèvres que je l’ai baisée encore plus sauvagement. J’ai fini par ralentir le rythme et me retirer complètement, afin de ne pas jouir trop vite. Un peu déçue au début, Sarah s’est finalement retournée et allongée sur le ventre. Retirant la culotte de sa bouche, elle m’a demandé de la prendre par derrière, puis elle a remis le sous-vêtement là où il était. L’invitation était difficile à refuser. Sarah avait un cul parfait. Musclé, ferme comme il le fallait, doux au toucher. D’une main, j’ai écarté l’une de ses fesses, admirant au passage son petit œillet brun, appétissant comme pas deux. Je l’ai sentie frémir lorsque j’ai passé mon sexe ...
    ... dessus, et je me suis dis que, peut-être, j’aurais la chance de jouer un peu avec. Mais en attendant, c’est entre ses lèvres trempées que j’ai à nouveau glissé mon membre. J’ai recommencé à la pénétrer en force, agrippé cette fois à ses fesses, que je claquais parfois. Sarah, elle, continuait de couiner, mais avait enfoncé sa tête dans son oreiller pour être la plus discrète possible. Impossible, cependant, d’être vraiment discrète alors qu’un orgasme la terrassait. Les ongles enfoncés dans le matelas et la tête dans le coussin, j’ai senti tout son corps se contracter, puis trembler comme une feuille, avant de s’étaler sur le lit. — Oh cousin, a-t-elle dit après avoir retiré la culotte de sa bouche, t’as pas idée comme c’est bon ! J’adore ! — J’ai pas fini, lui ai-je répondu en lui envoyant une légère fessée. Et j’ai continué à la pénétrer, doucement, en prenant mon temps. Mes mains ont quitté ses fesses et remonté le long de son dos lorsque je me suis rendu compte que je n’avais pas encore profité de sa poitrine. Comprenant mes envies, Sarah a remonté son tee-shirt au-dessus de ses seins, me laissant un accès privilégié à ces deux jolis globes de chair, d’une taille raisonnable mais divins au toucher, et aux pointes bien érigées. Je les ai malaxés un moment, joué avec ses tétons en tirant dessus et en les pinçant, puis je suis retourné à ces fesses qui m’envoutaient complètement. Tout en la pénétrant lentement, je les ai écartées, admirées encore un peu, et j’ai laissé mon doigt ...
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