1. Un conte de Noël (1)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Sarah a fini par rompre ce silence. — C’était tellement bon ! a-t-elle dit. Merci mon cousin ! Merci pour tout ! Sa main avait glissé entre ses cuisses, et jouait avec le sperme collé contre sa chatte, tripotant le bout de mon sexe au passage. — Merci à toi, ai-je fini par répondre. Merci pour ce beau cadeau. Je ferais peut-être mieux de retourner dans ma chambre maintenant... — Non, reste ! Passe la nuit ici, tu t’enfuiras au petit matin ! J’étais bien incapable de refuser l’invitation. Alors on est restés dans la même position, moi dans son dos, mon sexe ramolli contre ses fesses encore un peu gluantes, et mes mains sur ses seins et son ventre. Et on s’est endormis. Le lendemain matin, nous n’avions pas bougé d’un poil, et mon érection matinale s’était glissée entre ses fesses à nouveau. J’ai eu envie de la prendre encore. J’aurais pu la prendre encore toute la journée. Mais j’entendais du bruit au rez-de-chaussée, sûrement mes grands-parents, et je me suis dit qu’il valait mieux que je me faufile dans ma chambre avant que quelqu’un ne s’aperçoive qu’on avait passé la nuit ensemble. Sarah a bien essayé de me retenir, mais j’ai réussi à filer après l’avoir embrassée sur le front. Une fois dans ma chambre, je me ...
    ... suis posé sur le lit, mais impossible de me rendormir. J’ai repensé à notre soirée, et j’ai fini par me masturber en tenant la culotte qu’elle m’avait offerte contre le nez. Une fois vidé et douché, je me suis levé, et j’ai rejoint tout le monde au petit déjeuner. Sarah nous a rejoint une petite demie-heure plus tard, et a parfaitement joué la comédie, faisant comme si de rien n’était. Son tee-shirt long qu’elle portait en guise de pyjama avait désormais une nouvelle connotation pour moi. Sa mère lui reprochait d’ailleurs de ne pas être assez couverte alors que nous étions en famille. Si elle savait ce à quoi j’avais pu assister... Après cet épisode, il a été difficile de rentrer tous chez soi. C’était la première fois que j’avais autant de mal à quitter la famille. Sarah et moi nous sommes revus quelques mois plus tard, autour d’un verre, et on a décidé qu’il s’agissait d’une nuit magique mais sans lendemain. Une sorte de miracle de Noël, qui n’arrivait que dans les contes. Le fantasme était à présent réalisé et nous pouvions passer chacun à autre chose. Ça nous allait comme ça... Pour autant, je continuais à régulièrement me masturber dans le cadeau de Sarah, qui m’apparaissait désormais comme un rêve lointain. 
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