1. Une vie idéale dans la journée de moi-même


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fh, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fantastiqu,

    ... Il semble interdit, comme désorienté, puis il se reprend, tout en s’approchant d’elle qui recule : — C’est malin ! Oui, ils bandent ! Oui, je bande ! Oui, ils bavent ! Oui, je bave ! Tout ce que tu mérites c’est d’être foutue dans un plumard, de long en large, de droite à gauche et surtout de haut en bas !!— De… de haut en bas ?— Oui, je t’explique ! Pardon, vous connaissez déjà ce passage, excusez-moi, je vais continuer. Mais juste pour la forme et la beauté du geste, je me permets cette petite chose : — De… de haut en bas ?— Oui, je t’explique ! Et il la coince dans l’angle de la terrasse, contre le petit muret et la grande baie vitrée fermée. Le contact froid la fait tressaillir, elle tente de se dégager, aussitôt il la plaque derechef. Elle s’agite, joue des bras et des mains, il les capture, joue de sa force. Le contact les suspend, ils se regardent, les yeux rivés, une tension électrique naît, ils ne savent plus quoi faire. Elle a envie de lui taper dessus, de le griffer, de lui faire mal, de le ravaler plus bas que terre, il désire éprouver sa force sur elle, la sentir à sa merci. Le temps se suspend, l’homme et la femme sont suspendus. Comme un barrage qui cède sous la pression des eaux, comme un flot qui ravage la vallée, au ralenti, leurs corps se jettent l’un sur l’autre, leurs peaux se touchent, leurs courbes se moulent les unes aux autres. Leurs bouches se joignent dans un baiser farouche, exigeant, mordant. Leurs langues se nouent, cherchent l’autre, le ...
    ... caressent, l’agacent, fusionnent. Leurs gestes sont saccadés, comme trop pleins de rage et d’excitation contenues, leurs doigts s’entremêlent, se serrent, se broient. Leurs ventres se moulent, se frottent, s’épousent. En grands gestes désordonnés, ils se broient, se griffent, malaxent leurs chairs avides, caressent, frôlent, câlinent. Leurs respirations saccadées, leurs cœurs qui battent à tout rompre, ils se veulent, ils se désirent, primitivement. D’une main ferme, il agrippe la fine ficelle du maillot de celle qu’il désire puis l’abaisse pour dégager une cuisse appétissante. Mise nue, elle continue à l’offrir à l’autre, l’embrassant follement, fusionnellement. Puis à son tour, elle ôte la dernière barrière de tissu qui la sépare de lui, de son corps viril. L’instant d’après, elle goûte à la chaleur d’une trique de chair dure qui lui moule le ventre. Elle se caresse voluptueusement à cette rondeur ardente. Puis sentant qu’il pourrait se répandre ainsi sur son ventre, elle s’écarte de lui et l’entraîne vers la piscine. Il ne se fait pas prier. L’eau de la piscine est chaude à souhait, ils s’embrassent toujours comme des fous, leurs peaux humides accroissent les sensations, les exacerbant. Leurs mains jouent un ballet de caresses, de tâtonnements coquins dans mille bruits d’eau. Il la plaque contre un bord, sa tige collée à son ventre rond, afin qu’elle sente bien son désir, cette tige qui ira bientôt en elle et qu’elle accueillera dans son intimité. Leurs bouches voraces ne se ...
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