1. Une vie idéale dans la journée de moi-même


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fh, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fantastiqu,

    Décidément, l’existence a du bon, même si c’était quand même mieux avant. Mais non, je ne suis pas un vieux machin nostalgique, quoique, dans la catégorie "Respect aux Aînés", je pense que je suis imbattable, sauf par certains de mes confrères et consœurs ! D’ailleurs, pour preuve de ma bonne santé malgré mon âge canonique, je rigole tout le temps. Aidé d’un sourire carnassier étincelant, je suis bien portant, un peu rebondi quand même, et ne parlons pas de ma "petite" chose dressée, exaltation de ma virilité éclatante. Pas à me plaindre. Actuellement, je joue les voyeurs auprès d’un couple d’âge moyen à qui tout semble réussir ces derniers temps. Le fric et la chance dégoulinent sur eux, mais ils restent raisonnables, j’en connais qui auraient déjà pété un plomb depuis longtemps. L’homme est mesuré, ne fait pas de folies particulières, la femme aussi, mise à part sa garde-robe. Ils ont bien acheté une nouvelle maison pour remplacer l’ancienne, changé de voitures, creusé une piscine ainsi que diverses choses, mais toujours sans excès. Quelque part, je suis fier d’eux, ils ne disjoncteront pas en deux temps, trois mouvements. Par contre, depuis que tout va bien pour eux, côté sexe, ils se déchaînent : matin, midi, soir et nuit, ils y vont de bon cœur. Ils se font souvent des petites galipettes, sans aller forcément jusqu’au bout, ce qui est compréhensible, nous ne sommes pas des surhommes, bien que… quoique… Bref, je suis content, je suis aux premières loges pour assister ...
    ... à tout ça. Du haut de mon poste d’observation, j’ai une vue imprenable sur les attributs de monsieur et les courbes de madame. Et comme ils sont encore assez jeunes, à cheval sur la quarantaine, ils ont du cœur à l’ouvrage et ça me plaît bien. Excusez-moi, mais je crois que ça va être reparti pour un tour et je ne désire pas laisser passer une miette de ce qui risque de se passer sous peu ! — C’est Agnès qui téléphonait ! dit la femme.— Et elle disait quoi ?— Rien de particulier, si ce n’est que j’ai cru comprendre qu’ils aimeraient passer à la maison, un de ces quatre.— Depuis que nous avons du fric, nous sommes redevenus très fréquentables par tes anciens amis, répondit une voix acide.— Oh, tu peux parler, toi, de ton côté… !! Les deux corps presque nus de la femme et de l’homme sont très proches l’un de l’autre, comme s’ils allaient s’étreindre, mais leurs attitudes démentent cette impression, de l’orage semble dans l’air avec échange de mots aigres-doux. — Pas si sûr ! Mes amis sont moins… rapaces.— Moins ? Donc ils le sont quand même un peu ! Et puis, parlons-en de tes amis ! Pas un pour racheter l’autre ! rétorque la femme, en secouant la tête.— Cause toujours ! J’ai bien vu comment certains de tes amis reluquaient la maison, sans parler de ma femme ! C’en était indécent !— C’est bien la preuve que je plais ! Et puis, pendant qu’on y est, parlons un peu de tes chèèèères copines qui aimeraient bien te mettre le grappin dessus et sur ton magot !— Depuis ton ravalement ...
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