1. Le "G", le ripou et les belles nanas (1ère partie)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fh, grosseins, préservati, pénétratio, fsodo,

    ... chance avec les mecs, moi… peste-t-elle. Elle rejette les draps, et la, hop ! C’est un phénomène courant, j’ai la queue qui se dresse, parce qu’elle a une sacrée belle paire de seins bien ronds. Et le piercing à son nombril qui me fait de l’œil… Bon, c’est pas le moment, je détourne le regard et ramasse son soutif qui est par terre, et je le lui tends. Même pas un merci, elle l’enfile sans un mot et reste là, à moitié à poil, à me mater. — T’es vraiment torché, toi ! T’as aucun souvenir ?— Bah, non. J’ai trop picolé…— Tu te souviens au moins de mon prénom, j’espère ? Houlà, là je suis comme un soldat qu’a marché sur une mine. Elle me l’a forcément dit hier soir, et d’un coup quelques bribes de souvenirs se réveillent dans ma mémoire : moi, les filles, Since et Kweenie, mes deux potes, le salon, des bouteilles, un joint qui tourne, des pizzas, une télé qui braille… Et cette bomba qui se penche vers moi et qui me glisse à l’oreille : — Moi c’est… C’est ? Oh putain, j’ai vraiment la tronche à l’envers. — Rita ? Son visage s’éclaire. — Bon ça va, autrement je t’aurais fait faire le tour de la pièce à coups de pied dans les noix. J’éclate de rire. Elle est marrante, cette gonzesse. J’aime bien. Faudra que je prenne son numéro avant de mettre les voiles. — Ok, Rita, je crois qu’il faut que je m’active, j’ai rien de spécial à faire, baby, mais je suis un homme d’affaires…— Tu m’appelles ? Waouw, le malaise, je me souviens même plus si j’ai pris son numéro. — Euh, ouais, tiens ...
    ... repasse-le-moi, parce que je me souviens pas… Autant la jouer franco. Elle secoue la tête d’un air navré, se penche et attrape sa culotte par terre. — Y a un marqueur dans la table de nuit, tu me le passes ? J’ouvre le tiroir et le lui tends. — Merci. Et là je bande encore plus, parce qu’elle est presque sortie du lit, et je vois ses longues jambes, et j’ai soudain le souvenir de la façon dont elle les a nouées autour de ma taille, cette nuit… Et je la vois écrire son numéro sur sa culotte, en appuyant bien fort. Elle rebouche le feutre et me jette son sous-vêtement. — Là, non seulement tu le perdras pas, mais tu t’en souviendras, fit-elle avec un sourire. Vraiment dommage que je ne me souvienne que vaguement de cette nuit, putain, elle est vraiment trop bonne… Dans ma bouche, c’est un compliment, faut pas prendre ça pour de la misogynie. Je ricane intérieurement, heureusement que j’ai pas à l’écrire, celui-là. Non, franchement, j’aime les femmes, toutes les femmes, presque autant que la bouffe, tiens. — Merci, baby. Je ramasse mes fringues et m’habille à la va-vite, en tentant de faire dégonfler ma queue, mais peine perdue, en plus elle reste plantée là, à poil quasiment, sans honte, à me zieuter. — Et toi, au fait…— Ouais ?— C’est quoi ton nom ? J’éclate de rire. — Ah merde, vraiment, t’es impayable comme nana…— Allez…— Nathaniel, mais tout le monde m’appelle G.— G ?— Ouais, G.— Bizarre, mais ça te va bien, G. Je vais pour sortir de la chambre, mais quelque chose me retient. — Eh ...
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