Brigitte, mon amie d'enfance
Datte: 11/09/2017,
Catégories:
fh,
frousses,
cadeau,
amour,
Oral
amourpass,
... Toujours à draguer. Tu ne peux pas t’en empêcher. Bon j’aime mieux ça. Alors c’est pour ça que tu as la tête ailleurs aujourd’hui. Tu comptes faire quoi maintenant ? Je ne peux pas lui parler de mon plan pour demain soir, mais d’un autre côté peut-être qu’elle pourrait me rendre un petit service. Pendant que je réfléchis, elle me regarde : — Oh ! Je connais ce regard… toi… me dit-elle en me pointant du doigt.— Hein ? Quoi ? De quoi tu parles ?— Je parle de toi et de ce qu’il y a là-dedans, en me tapant sur la tête. Alors je lui raconte la fin de soirée avec les SMS que je lui montre. Elle prend le téléphone et regarde, puis s’arrête sur la photo : — Hum… elle est jolie. Tu as vraiment bon goût. Je te souhaite bonne chance. Je sais que c’est vrai venant d’elle ; puis je lui dis : — Céline, tu peux me rende un service, s’il te plaît ? Je ne risque rien à demander, elle me regarde, hésite, puis me dit : — Oui, pourquoi pas… allez, accouche, dis-moi tout.— Merci, ma belle. Est-ce que tu connais un lieu pas trop loin et calme pour passer deux jours ?— Si tu me laisses l’après-midi, je te trouve ça.— Céline, est-ce que tous les documents sont en règle ? Elle me regarde, surprise par ma question et répond : — Euh oui, depuis une semaine… Qu’est-ce que tu attends pour signer ?— Que toi tu me dises de le faire puisque tu as des parts dans la boîte, nous sommes à 50/50. Alors c’est bon ? Elle me fait oui de la tête, je signe en même temps. — Merci mon amour, je t’aime. Tu as fait de ...
... moi une femme vraiment libre, je vais t’aider à conquérir le cœur de ta belle et cette fois-ci, tâche de la garder plus longtemps que les autres et même moi. Bon, alors maintenant, tu comptes faire quoi au juste ? Je lui raconte que je veux la surprendre juste après son travail et l’emmener passer un moment dans un lieu romantique. — Ah je vois… deux jours en amoureux et plus si affinité.— Voilà exactement ! C’est ça que je veux. Elle prend son sac, sort un stylo puis signe et le repose. Elle se tourne vers moi m’embrasse une nouvelle fois puis s’en va sans rien dire. — Ok, vas-y sauve-toi ; je m’occupe de tout. Tiens-moi au courant. Je passe une partie de l’après-midi au téléphone à prévenir mes anciens clients et les nouveaux propriétaires qui me disent que l’argent sera versé dans deux jours, quand ils auront les documents signés. J’appelle Céline et lui raconte. Elle me remercie encore une fois puis coupe la communication ; quant à moi, je ferme le bureau puis le portail et pars chez le notaire pour lui donner les documents et les clefs de la boîte. Il regarde les documents, me dit que tout est parfait, qu’il transmet les documents aux personnes adéquates et qu’il me préviendra pour le reste. — Félicitations Monsieur, voilà une affaire bien conclue.— Merci, maître. C’est un peu à vous que je le dois. Puis je passe voir mon associée. Je suis déjà sur le perron quand je lui serre la main. Bon maintenant, que vais-je bien pouvoir faire ? Je décide de regagner ma voiture pour ...