1. Brigitte, mon amie d'enfance


    Datte: 11/09/2017, Catégories: fh, frousses, cadeau, amour, Oral amourpass,

    ... rentrer chez moi. Au bout d’un moment, je regarde ma montre, je décide de prendre la direction de l’école où travaille Brigitte. J’appelle un pote à moi qui travaille dans les communications en lui demandant s’il peut me retrouver un téléphone. Il me demande à son tour pourquoi, je lui réponds que c’est mon nouveau téléphone et qu’on me l’a volé, mais que je ne veux pas que la police s’en mêle, car mon assurance me tombera dessus. Au bout de cinq minutes de palabre pour avoir le numéro d’une de mes ex, il me met en attente. Deux minutes plus tard, il me dit qu’il ne peut que me donner la rue où se trouve le téléphone. — Je te remercie, à charge de revanche. Tu me l’envoies et moi, je t’envoie le numéro de Christelle, non sans l’avoir prévenue. Je raccroche, j’envoie le numéro, puis je patiente deux minutes. Après, je reçois son message en retour. C’est trop tard. J’allume mon PC et cherche l’adresse. Quand je tombe sur le plan des lieux, il me semble les reconnaître. Le téléphone me sort de ma réflexion, c’est Céline : — Oui, allô ?— J’ai trouvé ce que tu cherches— Oh ! Si vite ?— Oui mon cœur. Ne sous-estime pas une femme. Je la remercie puis je lui demande ce qu’elle va faire maintenant avec sa fortune. Elle me répond : — Rien, juste aider ma mère puis profiter un peu, moi aussi. Pendant que nous parlons, je roule vers l’adresse et le double appel se fait entendre. Je le prends en gardant Céline en ligne. Je discute cinq minutes avec lui puis je raccroche. Céline me demande ...
    ... qui c’est, je lui explique le coup. — Bon, mon cœur, j’espère que tu pourras conclure ton affaire. Moi, il faut que je te laisse Elle raccroche, j’arrive près de mon futur crime. Lorsque j’arrive, je reconnais la rue. Je me gare le plus loin possible et descends un peu plus près. Je m’adosse contre un mur où je sais que personne ne peut me voir sans s’approcher de moi ; par contre, je vois toute la rue. Je me revois dans cette école avec mon (mes) meilleur(es) ami(es) quand soudain la cloche retentit, c’est toujours la même. Je sors du coin où je me trouve et sans m’en rendre compte je descends plus bas que je n’aurais voulu. Un parent me voit et s’avance vers moi en me criant dessus : — Hé ! Vous ! Qu’est-ce que vous faites là ? Mais je regarde toujours dans la cour. Lorsqu’il arrive près de moi, je tourne la tête et je le reconnais. Je l’appelle par son prénom, il me sourit, me serre dans ses bras. Mais, dans tout ça, j’ai perdu de vue Brigitte, qui s’est rapprochée de nous sans que je m’en aperçoive. — Bonjour monsieur, je peux savoir votre nom et ce que vous faites ici, me demande-t-elle comme si hier n’avait jamais eu lieu.— Alors, ce monsieur s’appelle Philippe et a vécu dans le quartier. Il est même allé dans… Je lui plaque la main sur la bouche pour le faire taire. Il me regarde puis regarde Brigitte et comprend qu’il vaut mieux se taire. — Bon, moi je me sauve les enfants m’attendent, reprend-il. Il s’en va, je reste avec Brigitte, mais je ne sais pas quoi lui dire, ...
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