Brigitte, mon amie d'enfance
Datte: 11/09/2017,
Catégories:
fh,
frousses,
cadeau,
amour,
Oral
amourpass,
... je passe la langue entre ses seins puis continue à descendre sur son ventre et lui embrasse le nombril. Elle est arquée : ses mains sont posées sur mes genoux et sa tête est rejetée en arrière. Je lève les yeux, ses seins sont droits avec une aréole à peine marquée et un téton rose pâle qui pointe à présent et des taches de rousseur un peu partout. J’en profite pour poser ma paume sur son con et le caresser. Un gémissement se fait entendre dans la chambre. Je continue à la caresser tout en remontant avec ma langue vers ses seins, que je lèche comme une friandise pour en connaître le goût. — Oh ! Doucement… Prends ton temps… Ils sont tout à toi… Quand elle me dit ça, mon érection reprend de plus belle. Je passe de l’un à l’autre. — C’est moi qui te fais cet effet-là ? me dit-elle quand son bassin vient se coller contre moi. Oui, c’est elle qui me fait ça. En fait, c’est un tout : le sucre, la douceur, l’odeur de sa peau, la caresse de ses lèvres sur les miennes. — Oui, c’est toi qui me rends dingue. Ce n’est pas pour autant que je m’arrête de la caresser ni de lécher ses adorables seins. Elle redresse la tête et m’embrasse. Elle se relève et me tire en même temps. Je me retrouve debout face à elle. Son regard va de mes yeux à mon entrejambe. Je la regarde aussi, mais de bas en haut : ses hanches sont fines, son ventre plat et ses seins qui ne tombent pas. Ils ont l’air presque fiers et me disent : « Viens nous lécher ! », ce que je m’empresse de faire, mais c’est elle qui ...
... prend les devants. Elle pose ses mains sur ma poitrine, me caresse un peu et ouvre ma chemise. Je veux l’aider mais elle s’arrête et me montre son doigt. Je comprends et la laisse faire. Elle reprend ses caresses, ses mains sont chaudes. Quand ses doigts arrivent à ma ceinture, elle l’ouvre, défait le bouton de mon pantalon puis tire ma chemise. Ses mains remontent sur le col et font la même chose que moi auparavant. La chemise tombe mais reste accrochée à mes poignets que je passe dans mon dos pour défaire les boutons. Pendant ce temps, elle fait glisser la fermeture de mon pantalon qui tombe en même temps que ma chemise. Elle se rapproche et pose une main sur mon sexe. Elle le caresse doucement comme pour en évaluer la longueur, puis sa main remonte sur ma poitrine. De nouveau, elle me caresse puis me pousse. Je tombe dans le fauteuil et retire mes chaussures. Elle s’approche de moi et finit de me retirer le pantalon. Je suis en boxer. De nouveau, elle m’enjambe pour s’asseoir à cheval et murmure : — Je t’aime. Quand elle se colle à moi, je pose mes mains sur son dos, je lui dis : — Brigitte, moi aussi je t’aime depuis le premier jour où je t’ai rencontrée. Je l’embrasse et la porte sur le lit. Je monte à mon tour, j’ai les mains posées sur le lit à hauteur de ses seins et les genoux bien plus bas que son bassin. Elle a ses mains sur mon dos et le caresse pendant que je l’embrasse derrière l’oreille. Je pose mes mains à plat sur son ventre pour sentir la douceur de sa peau ; ...