Brigitte, mon amie d'enfance
Datte: 11/09/2017,
Catégories:
fh,
frousses,
cadeau,
amour,
Oral
amourpass,
... Tu ne préfères pas rester dîner ici plutôt que de sortir ? Car je n’en ai pas trop envie et puis on a bien à se raconter nos vies.— Je ne demande pas mieux.— Attends, je vais voir si j’ai… Je l’attrape au passage et la tire à moi. Elle bascule sur l’accoudoir et tombe dans mes bras. Je l’embrasse, elle ne résiste pas. Sa bouche s’ouvre et ma langue commence à jouer avec la sienne. Au bout d’un moment, elle s’arrête, se lève et me prend par la main. Je la suis dans le couloir, elle pousse une porte, nous entrons. Ça y est, je suis dans sa chambre. Je ne pensais pas en arriver là aussi vite. Sa chambre est décorée avec goût : un lit à baldaquin, une grande armoire dans un coin et à son opposé un secrétaire et, juste à côté, un large canapé. Elle me pousse dedans, c’est maintenant un sourire qui illumine son visage : c’est elle le chat, et moi la souris. Cela me va pour l’instant. Elle sort de la chambre. Pendant ce temps-là, je change de place et me mets à l’aise dans le fauteuil près de la fenêtre. J’envoie un message à Céline. — Oh petit cachottier ! Je te prends sur le fait accompli. À qui envoies-tu un message ? Je tourne la tête. Elle porte un peignoir de soie blanche. Ma bête se réveille doucement mais sûrement. — À mon associée, lui réponds-je en posant mon téléphone sur la margelle de la cheminée. Elle prend le téléphone. Son peignoir s’ouvre un peu et me laisse entrevoir la dentelle de son soutien-gorge. — Ton associée s’appelle Céline.— Oui, c’est bien ça, je l’ai ...
... connue sur les bancs de l’université. Nous avons eu une aventure qui a duré deux ans, mais en affaires, elle est comme moi : un vrai requin. Je te la présenterai, si tu veux. Elle repose le téléphone, s’approche et se penche vers moi en passant sa main sur ma joue, elle me lèche l’oreille. La bête est sortie du sommeil maintenant. — Ça te plaît ce que tu as vu ? me dit-elle en s’asseyant à cheval sur moi. Elle doit certainement sentir mon érection qui durcit, mais elle n’en montre rien. Je défais la ceinture, je passe mes mains dans le col de son peignoir et le fais glisser sur ces épaules. Que sa peau est douce ! Elle sent la lavande et la fleur d’oranger. Le peignoir continue de glisser de même que mes mains qui finissent de le faire tomber. Je prends les bretelles entre le pouce et l’index. Je les fais glisser plusieurs fois en accentuant mes caresses de l’index sur ses seins qui durcissent. Je passe dans son dos où mes mains se rejoignent pour dégrafer son soutien-gorge. Elle est surprise par ma facilité à l’ouvrir. Je m’écarte un peu, je reprends les bretelles pour les faire glisser. Cette fois-ci, elle met ses mains sur sa poitrine. Quand je lui ai presque retiré son sous-vêtement que je finis par jeter sur le lit. Je passe mes mains dans son dos pour la ramener à moi et je l’embrasse. Nos langues et nos salives se mêlent puis je lui lèche le cou en descendant vers ses seins qui sont toujours cachés, mais je continue mon affaire. Quand j’arrive à la naissance de ceux-ci, ...