1. Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (3)


    Datte: 12/11/2019, Catégories: Lesbienne

    ... que ma main ne voulait pas s’en défaire et je lui caressais son abricot à travers la douceur du lycra tout trempé. Maintenant elle soupirait, mais elle faisait attention à ne pas le faire trop fort, pour ne pas attirer l’attention des autres clientes. Je l’avais maintenant plaquée sur la paroi en bois et de mon autre main je lui pétrissais un sein, le plus beau c’est qu’elle avait l’air d’aimer le traitement que je lui infligeais. Au fond de moi j’étais quand même très heureuse que les rôles s’inversent, je gardais en souvenir le coup pendable qu’elle m’avait dispensé avec Muriel un samedi soir il y a quelques temps. Je ne prenais pas ça comme une vengeance mais plutôt un juste retour des choses, j’allais maintenant pouvoir me coller à elle quand j’en aurai envie, quand je la croiserai dans l’intimité au boulot. Je pense qu’au fond d’elle, elle savait que désormais elle m’appartenait, elle serait définitivement à ma merci quand que je désirerai. Je ne voulais pas en faire mon jouet sexuel mais juste pouvoir en disposer quand j’en éprouverai le besoin. Par-dessus ça, j’étais en train de me dire que, vue son odeur de rouquine, je ne serais pas étonnée que Franck fasse une fixette sur elle aussi. Quand j’ai réalisé qu’elle était sur le point de prendre son pied avec mes caresses vaginales à travers sa culotte, je constatais que la situation l’avait sacrément excitée. J’ai continué de lui masser son intimité jusqu’à ce qu’elle prenne son pied, je l’ai embrassée pour empêcher que ...
    ... l’on ne l’entende crier; elle m’était maintenant complètement offerte. Après cela j’ai estimé que je pouvais cesser de lui masser l’entrejambe, je venais de la faire jouir tout en douceur et elle venait de me souiller les mains de sa cyprine bien collante et compacte mais surtout odorante. En guise de trophée avant de partir, je me suis permis de lui prendre personnellement la culotte qu’elle portait, je me suis dit que cela ferait un petit cadeau pour mon homme. J’ai préféré mettre cette dernière dans un petit sachet, pour ne pas mouiller tout ce que j’avais dans mon sac à main. J’avais pris l’habitude d’avoir toujours plusieurs sachets à portée de main, ils me servaient à stocker les culottes que je réquisitionnais auprès de Muriel. C’est mon homme qui allait être heureux, il allait pouvoir se shooter les narines avec une forte odeur féminine différente. J’ai laissé Marie dans sa cabine d’essayage débarrassée de sa culotte poisseuse, je me suis rentrée à la maison très heureuse de ce que je venais de vivre dans ce magasin. À mon tour je suis rentrée à la maison toute excitée et j’ai offert le petit cadeau à Franck, en obsédé qu’il était en train de devenir avec ses petites culottes, il s’est empressé de la sentir. Il a constaté une nette différence d’odeur mais n’est pas allé plus loin dans ses constatations. Au bout d’une heure à se chauffer avec la petite culotte de Marie, mon mec m’a sauté dessus et m’a pris sauvagement dans la cuisine. Il m’a plaquée contre lui, d’une ...
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