1. Ciné folie Chapitre 2(Trouvee sur le net)


    Datte: 12/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Hardcore,

    ... Intérieurement, j’en rigolerai presque, car j’ai l’impression que je les arnaque. Je roule le premier et le dépose à terre. Puis le second, lentement, très lentement, espérant sans cesse qu’un événement me sortira de là. Mais rien. Je pose le second sur le carrelage et reste prostrée à terre, recroquevillée sur moi-même. L’excitation du coté des hommes est grandissante. Ils sortent à tour de rôle leurs membres gonflés. Je ne bouge plus. Mais la haut, la voix recommence à hurler. « CONTINUE! ».Je me relève doucement, en me frottant aux murs. Si ils pouvaient m’absorber, comme ça, d’un coup. De nouveau debout, je porte mes mains à ma bouche, tremblante. « CONT…. » « Oui, oui, ne criez pas, ne criez pas, s’il vous plait ne criez pas » ma voix sanglotant accompagne le premier geste fatidique. Je croise les bras, att**** mon pull de chaque coté de mes hanches et le soulève lentement. Je sens mes seins monter et ensuite retomber au passage de la laine. Nerveuse, j’ai du mal à me dépêtrer des manches. Une fois fait, l’humiliation ne pouvant pas être plus grande, je reste les bras ballant le long du corps. Pas plus grande ? C’est ce que je crois. « Vire ta jupe, salope! ». Je lève mes yeux et je dévisage chaque types, un par un, comme pour les affronter une dernière fois. Leurs regards sont vides de toutes émotions, mais remplis d’envie, de vice et de sexe. Ils s’astiquent tous, poussent des râles de bêtes. Je fais lentement glisser ma fermeture éclair, je m’écarte du mur pour ...
    ... libérer ma jupe qui tombe à mes pieds. Sans les quitter des yeux, je la pousse avec mes pieds. Je suis désormais offerte et vulnérable. L’adrénaline me réveille un peu, et une douce chaleur que je connais bien s’installe dans mes tripes. Non! Pas ça! Je suis excitée. J’ ai une terrible honte et je me sens rougir. Ils ne me touchent pas, ils ne font que se branler en me regardant. J’essaie d’avoir une allure digne et attend avec angoisse les premiers jets. Mais rien. L’homme qui hurle depuis tout à l’heure, s’écarte et m’indiquant les marches, m’ordonne de m’y asseoir. Lui, me fais vraiment peur et je m’exécute sans broncher. Ils se regroupent face à moi. « Mes tes mains dans ton dos et écarte les jambes ». Ca ne finira donc jamais. En écartant les jambes, je perçois mes grandes lèvres se décoller et je les devine humide. S’ils s’en aperçoivent, je serrais bonne pour une honte supplémentaire. Un jeune s’approche et ce place face à moi à moins d’un mètre. Je ferme les yeux et attend d’être une fois de plus aspergée. Il y a bien un jet, mais pas de foutre. Le salopard me pisse dessus. Il vise mes seins. Le liquide chaud arrivant avec force, s’écrase sur mes tétons comme milles petites aiguilles qui le piquent de partout. Chose inattendue, mes tétons réagissent et gonflent à vue d’oeil. Les éclaboussures m’obligent à lever la tête. Le fluide qui me coule sur le ventre, passe sur mon sexe et s’étale sous moi. Je suis maintenant assise dans une marre d’urine qui refroidissant dégage une ...
«1...3456»