1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 637)


    Datte: 13/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (2/4) - Mon éducation de salope commença dès le lendemain. Leur ayant demandé si je pouvais rester le reste du week-end Le lendemain donc au petit déjeuner, Sir Evans et David firent comme si rien ne s’était passé. Moi, par contre, j’étais terriblement gênée, je gardais la tête dans mon bol, je n’osais pas affronter le regard de mes patrons. Eux parlaient comme s’il s’agissait d’un matin ordinaire, ils semblaient même prendre un malin plaisir à être encore plus naturels que d’habitude. J’étais au supplice. Comment après ce qui c’était passé la veille au bord de la piscine, comment pouvaient-ils être si banals en parlant de tout et de rien, avec futilité. J’avais sucé mon patron pendant que son compagnon se régalait de mon intimité, ils avaient fait l’amour devant moi, et ils étaient là à manger leur croissant et à boire leur thé en toute inconscience. - Un croissant, Auré ? dit David. - Non, merci, je n’ai pas faim. Et en plus il m’appelle Auré ! La honte s’empare à nouveau de moi. Comment ais-je pu me laisser aller, comment ! Je me suis conduite comme une traînée ! - Ecoute, ma belle, reprend David, ce qui c’est passé hier, n’est que le début d’une grande aventure qui commence pour toi… et pour nous aussi. Tu es une fille bien, avec un grand potentiel érotique. Tu ...
    ... ne t’en rends pas compte, parce que personne ne te l’a jamais dit, jamais prouvé. Depuis que je t’ai vu, je sais que je vais faire de toi, une grande salope, une immense salope. Tu as un corps à faire bander un mort et à rendre folle de jalousie ou de désir femmes et hommes que tu vas croiser. Tu vas faire manger tout le monde dans ta main, rien qu’en agitant ton joli petit cul de pute. N’est-ce pas chéri ? - C’est sur, enchéri le marquis et si je n’avais pas eu peur de te faire fuir, je t’aurais bien baisé autre chose que la bouche, hier soir ! -Tu vois le Maître est d’accord avec moi… et nos amis que tu sers à table chaque premier vendredi du mois, ne rêvent que de te posséder, les hommes comme les femmes. Maître Dumont et sa femme ne tarissent pas d’éloges sur toi. Le substitut et Madame ne rêvent que de ton cul. Depuis la petite Lila, aucune de nos soubrettes ne leur avait fait cet effet, même pas cette chienne de Katy. Il faut que tu te fasses à cette idée, tu es une salope en puissance. Puis, il s’approche de moi et commence à défaire la ceinture de mon kimono. Il me pétrit les seins à travers le satin de ma nuisette. Monsieur le Marquis d'Evans se colle alors à moi, écarte mes cuisses pour vérifier que je mouille bien. Ses doigts titillent mon bouton d’amour, avec douceur, puis avec plus de pression. Je perds à nouveau pied, comme hier. Je ne suis vraiment qu’une fille de rien, qui se met à gémir dès qu’on lui astique le bonbon. Les caresses de David se font plus ...
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