1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 637)


    Datte: 13/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... prendre une douche quand on sonne au portail. La cuisinière va ouvrir. C’est Rose la voisine de Marie qui vient parfois l’aider en cuisine. Je les vois venir vers ma chambre par le couloir de communication. Elles sont bras dessus, bras dessous, ce qui me laisse penser qu’elles sont lesbiennes, et s’arrêtent souvent pour s’embrasser à pleine bouche. Elles se touchent sans pudeur, et rentrent dans ma chambre en riant de ma mine ébahie. - Ne fais pas cette tête de prude, on a vu les photos que Monsieur le marquis a prise de toi en train de te triturer la fente, intervient Marie. Tu as une bien belle chatte allez, vient, pour te détendre, je vais te faire un bon massage. - Bien …Madame, dis-je hésitante. - Tu peux m’appeler Rose et me tutoyer. On est appelé à se voir souvent. Les employés de Maîtres Sir Evans forment une grande famille. Pas vrai Marie ? - Vrai, ma chérie. Hummmmmmm ! Oui c’est vraiment vrai ! Et elles s’embrassent de nouveau à pleine bouche, et elles se caressent … Puis Marie se retourne vers moi, me prend la taille, me fourre sa langue dans la bouche et me roule un patin d’enfer. Je me laisse faire, le marquis m’a demandé d’obéir à la cuisinière… Ce baiser me trouble et j’y réponds avec ardeur. - Ils ont raison, les patrons ! Tu as un vrai potentiel de salope … à peine quelqu’un te fourre quelque chose dans la bouche, tu te mets à sucer comme une chienne … Tu veux goûter Rose ? Rose prend à son tour possession de ma bouche et en même temps glisse sa main ...
    ... entre les pans de mon kimono pour atteindre mon entrecuisse. Elle me caresse avec tant de douceur que je parviens rapidement à la jouissance, d’autant plus vite que Marie s’est placée derrière moi et me triture les tétons : - Vas-y ma petite pute, laisse-toi allez. Rose embrasse divinement bien. Rends-lui son baiser, enlace-la. Attends, je t’enlève ce peignoir qui nous encombre plus qu’autre chose. Voilà, pelote-lui ses nibards, Rose ne met jamais de soutif, tu vas te régaler et elle aussi. Tout en parlant Marie s’est agenouillé derrière moi. Elle m’écarte les jambes, les fesses et je ne tarde pas à sentir sa langue qui s’égaille entre mon œillet brun et mon abricot. Je ruisselle, elle lape mon suc. Rose m’embrasse toujours et nous nous pelotons les seins réciproquement. Elle me pousse lentement vers le lit, m’allonge et se positionne à cheval sur moi, son con au bord de mes lèvres. - Lèche-moi, goûte comme c’est bon une chatte de gouine. Fourre ta langue dans ma caverne, lape mon nectar. C’est bon, tu aimes ça. C’est la première fois que tu suces une femme ? … Je fais oui avec la tête sans arrêter mes coups de langue. – Et bien, ma salope, on dirait que tu as fais ça toute ta vie. - Maître Sir Evans ne s’y est pas trompé, reprend Marie. Je ne crois pas qu’il lui faille plus de quinze jours avant d’offrir cette jeune esclave délurée aux soirées du vendredi. En plus je suis sûre qu’elle va être ravie des photos que je viens de prendre pendant qu’elle te suçait le bonbon. Quelle ...