La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 637)
Datte: 13/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... pressentes. Il a glissé sa main sous ma chemise de nuit et me torture le bout d’un sein. Leurs mains semblent animées par un même but, me faire jouir. - Tu vois bien que tu aimes ça ! Tu es faite pour l’amour, pour le sexe, insiste David. Cela fait déjà trois semaines qu’on rentre plus tôt le samedi et qu’on t’observe quand tu t’occupes de ton joli fruit juteux vers la piscine ou dans le sauna. Sir Evans a même pris des photos qu’il a déjà montrées à nos amis. Ils ont hâte de profiter de ton beau corps de salope. Mais on va d’abord tout t’apprendre, on va faire de toi la reine des salopes, une pute qui va faire exploser les braguettes et mouiller les culottes de toutes nos relations. Mais attention, il faudra vraiment nous obéir, au doigt et à l’œil ! Tu devras faire tout ce qu’on te dit, accepter tout ce qu’on ordonnera de toi. Pendant les trois ou quatre semaines à venir, tu seras notre esclave sexuelle. Tu devras toujours être prête à écarter les cuisses sur l’ordre de Monsieur le Marquis d'Evans ou sur le mien. Pour cela, aucun sous-vêtement sur toi, jamais. Tu devras toujours restée nue sous tes vêtements, prête à être prise, quand on veut, où on veut, comme on veut. Dès que tu auras finit ton petit déjeuner, tu iras prendre une douche et tu enfileras la tenue que je vais te poser sur ton lit pendant que tu te laves. C’est pour ainsi dire la même que celle que tu portes lors des dîners du vendredi, mais celle-ci est un peu transparente et s’enlève plus facilement. Tu ...
... porteras des bas up en résille noire et des escarpins vernis rouge. Ne proteste pas, je sais que tu auras l’air d’une pute avec cet accoutrement, mais c’est le but recherché. La porte de ta chambre devra toujours restée grande ouverte pour que l’on puisse t’observer, même pendant tes moments d’intimité. Ne t’inquiète pas pour la cuisinière, elle travaille pour nous depuis plus de dix ans et elle participe régulièrement à nos petites… Comment dire cela… à nos petites sauteries, avec sa copine Rose. - Tu peux dire partouze, il est temps que cette ingénue apprenne le vocabulaire libertin. - Est-ce que tu as bien compris tout ce que l’on vient de te dire. - Oui. - Ah ! J’oubliais, durant ton apprentissage, tu devras nous appeler Maître, pour nous deux C’est clair ? - Oui. - On dit oui Maître. - Oui, Maître. - C’est bien, tu es une bonne femelle. Une dernière chose, pas question de te relâcher dans les études. Tu dois continuer à travailler ton droit avec application, car tu feras, j’en suis sure, un très bon avocat... Si tu fais tout ce qu’on te dit, tout ira bien, sinon, nous serons obligés de sévir et gare aux punitions… - Ah, au fait, tu plais aussi beaucoup à Marie, la cuisinière et comme elle connaît parfaitement nos méthodes d’éducation, tu devras lui obéir comme à nous. En notre absence, elle a les pleins pouvoirs sur toi. Maintenant mange un peu, à ton âge on a faim. Je me jette alors littéralement sur les deux croissants qui restent dans la corbeille. J’ai juste le temps de ...