1. Ordre de mission


    Datte: 12/09/2017, Catégories: ff, jeunes, couleurs, frousses, rousseurs, grosseins, complexe, bizarre, fsoumise, fdomine, humilié(e), Oral sf,

    ... séducteur et prédateur. — Oui. Je suis à toi.— Tu resteras toujours à moi ? Tu ne feras jamais de bêtises, hein ? Tu me promets de toujours être gentille avec moi ?— Oui. C’est promis. Le sourire béat de Valérie était tout ce qu’elle voyait. Le même sourire qu’elle avait, enfant, quand elle jouait à la poupée. Léane se sentit tirée en avant. Sa tête s’enfonça dans la poitrine de sa maîtresse qui la serra fort contre elle. — Tu es un amour, Léane. Toi tu ne m’abandonneras jamais. Elle sentit une larme tomber sur sa joue et rouler jusque dans son cou. Elle savait comment ça allait se terminer. Quand Valérie la relâcha, elle se redressa et ôta ses vêtements. Quand elle se leva pour laisser son pantalon glisser le long de ses jambes, Valérie la regardait, le visage inondé de larmes. Elles s’allongèrent toutes les deux côte à côte, entièrement nues. Et la blonde maîtresse vint se lover dans les bras de sa servante. Elle s’agrippa à elle, l’entourant de ses bras et de ses jambes, et déposa ses lèvres sur son sein gauche. Bien que plus modeste, la poitrine de Léane était également imposante. Valérie l’avait fait refaire quand elles avaient dix-sept ans. Peu après la mort de sa mère. Les lèvres pleines et artificielles tétaient son sein avec application et gourmandise. La jeune maîtresse s’assoupissait peu à peu, alors que Léane passait la main dans ses cheveux pour la calmer. Enfin la blonde s’endormit. Après quelques minutes, la jeune fille se dégagea de son étreinte. Elle prit ...
    ... sa maîtresse dans ses bras, l‘amena dans son lit. La borda. Retourna s’asseoir devant la table basse. Et reprit l’entretien de ses armes. Elle trempait le hérisson dans l’huile à laser, l’enfonçait dans le canon et ramonait. Ses gestes étaient toujours les mêmes. Ils étaient intégrés à son quotidien, presque rituels. Une fois qu’elle eut fini, elle se rendit à la salle de bain et entra dans la cabine de douche. Les jets d’eau jaillirent sur elle, aspergèrent son corps avec force. Son visage. Sa poitrine. Elle resta une demi-heure sans bouger, à laisser simplement l’eau la purifier de ses souillures. Puis elle sortit de la cabine, le corps couvert de fines gouttelettes et alla se brosser les dents. Elle enfonça la brosse dans sa bouche et frotta avec frénésie. Elle la passa sur sa langue et sur son palais, la sentit plusieurs fois buter contre le fond de sa gorge. Des larmes commencèrent à rouler sur ses joues, mais elle continua, penchée sur son lavabo. Elle frotta à s’en arracher les mâchoires, avec une violence incontrôlée. Et elle recracha. Elle fit jaillir toute sa honte, tout son dégoût, sa douleur, sa rage et sa peur, toute son humiliation, toutes ses émotions qui se débattaient en elle dans le lavabo blanc et propre. Ouvrit le robinet. Se rinça la bouche. Le mélange de dentifrice et de salive écœurante disparut dans les canalisations. Plus que toutes ses fantaisies et ses caprices malsains, c’était les baisers de Valérie qui l’humiliaient le plus. Cette manière de ...
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