Lucile amoureuse salope (11)
Datte: 14/11/2019,
Catégories:
Transexuels
... une de ses culotes, enfilé une de ses paires de collants et j’avais utilisé son maquillage. Mais j’avais 10 ans, ça ne signifiait rien pour moi. — Bien sûr que si, ça signifiait beaucoup. Je ne te dis pas que ce que tu m’as raconté m’enchante mais ça ne me surprend pas. J’ai toujours cru que tu était plus fille que garçon mais quand tu es sorti finalement avec Lucile, j’ai pensé que je m’étais trompé. T’es juste en train de me dire que j’avais raison. Et Lucile ? Elle le prend comment ? — Bien, même très bien. Elle m’encourage et me conseille. C’est grâce à elle si j’en suis là en fait. Marc expliqua alors son cocuage et les débuts de sa féminisation et cette partie de son histoire sembla intéresser d’avantage René. Ce dernier lui posa beaucoup de question, voulut tout savoir dans les moindres détails, tant et si bien que Marc finit par lui avouer que Lucile s’était masturbée en pensant à lui, qu’elle avait décidé d’arrêter la pilule et que lui même n’éjaculait plus en elle depuis qu’il était cocu. — Bon, qu’est-ce que tu veux que je te dise, Marc ? Rien de ce que tu me racontes ne m’étonne. Je n’ai jamais pensé que tu étais vraiment un homme même si ta mère ne voulait pas l’admettre. Elle ne voulait pas de pédé dans la famille, alors un travelo… mais plus que ça, quand vous vous êtes mariés, je lui ai dit que tu serais cocu rapidement et sur ce point, elle fut d’accord avec moi. — Par contre ça n’a pas été si rapide ; au début Lucile ne voulait pas en entendre parler mais ...
... bon, depuis quelques mois elle s’est rattrapée. J’ai des cornes à rayer les plafonds… — Et l’avenir ? Vous le voyez comment ? Vous envisagez un divorce, sans doute. — Absolument pas ! On tient beaucoup l’une à l’autre, s’offusqua Marc. Et quelque soit ma nature et quelque soit le géniteur des enfants de Lucile, nous en serons les parents. — Mmm, je ne sais pas si c’est vraiment bien mais il ne m’appartient pas de juger. Et ton prénom féminin c’est quoi ? Marcelle, Marcela ou un truc dans le genre, j’imagine — Non, c’est Jeanne. Je m’appelle Jeanne maintenant. — Jeanne ?! Tiens donc. C’n’est pas un peu vieillot ? En tout cas, c’est amusant ; si t’avais été une fille c’est comme ça que ta mère voulait t’appeler. J’aurai bien aimé avoir une fille tu sais et ta mère aussi, je crois. Avec Lucile, vous êtes heureux ? — Très ! On est vraiment très heureuses. — Et tu fais quoi, ma fille, déguisée en garçon ? Parce que j’imagine que tu as d’autres choses plus sexy à te mettre, non ? — Je peux ? — Non seulement tu peux mais je l’exige. Tu prétends être une femme alors vas-y, montre moi. Fais toi belle que je vois à quoi peu ressembler ma fille. Marc s’éclipsa en quatrième vitesse et René quitta son atelier pour aller, une fois n’est pas coutume, se servir un remontant. Il se servit un premier verre de cognac qu’il but cul-sec puis un second qu’il emporta avec lui. Il se dirigea tout droit vers la piscine et surtout vers Lucile toujours assoupie dans sa chaise longue. Il posa son verre ...