1. Lucile amoureuse salope (11)


    Datte: 14/11/2019, Catégories: Transexuels

    ... sur un guéridon après en avoir soutiré une belle gorgée puis il retira chemisette et short pour plonger en slip dans l’eau. Le cognac le détendit un peu et le bain lui rafraichit les idées car, même s’il ne voulait pas le montrer, il restait encore choqué par les révélations de Marc. Il ressortit de l’eau, s’installa dans une autre chaise longue à côté de sa belle-fille et reprit son cognac. — Mm, Beau-papa, c’est vous ? Dit Lucile en sortant de sa torpeur. — Je t’ai réveillé, ma belle, excuse-moi. Mais tu sais tu devrais faire attention, c’est très mauvais de s’endormir au soleil. — Oui, vous avez raison… Et le cognac ? C’est bon, dès le matin ? — Non, c’est très mauvais aussi mais j’ai eu une conversation avec Marc qui m’a donné le besoin d’avaler quelque chose de costaud… — Ah… et où est il, maintenant ? — Je l’ai envoyé se faire belle. Il m’a tout raconté, je crois, depuis son désir d’être cocu à sa féminisation et à son envie de changer d’apparence… — Et ça va ?... Vous avez l’air de le prendre plutôt bien, enfin, le cognac mis à part, bien sûr. — Je ne sais pas, Lucile, je n’ai que vous, tu comprends, alors si c’est un vrai choix de votre part, si vous êtes heureux, si vous avez des enfants un jour, alors je n’aurais finalement pas d’autre choix que d’accepter. Que ça me plaise ou non… — Oh, René, je vous assure que tout ce que nous faisons c’est réellement par choix et par plaisir et que mon vœu le plus cher c’est que l’on reste ensemble et que l’on ait des enfants. Je ...
    ... ne sais pas trop ce qu’il vous a raconté et s’il vous a vraiment tout dit mais je vous promets de vous donner ma version si vous voulez. Ça vous aidera peut-être à l’accepter plus facilement. — Voilà Papa, j’espère que je ne t’ai pas trop fait attendre. Jeanne apparut simplement vêtue d’un paréo noué sur la taille et d’un petit débardeur très court qui cachaient un maillot de bain string identique à celui de Lucile. Elle était chaussée de sandales compensées, son visage était joliment maquillé et sa perruque bien recoiffée. Elle portait quelques bijoux fantaisie : boucles d’oreilles clip, bracelet et collier assorti. Elle avait fait des efforts pour être la plus belle possible mais elle tremblait de tout son corps de la crainte de la réaction de son père. René resta silencieux pendant un temps qui sembla infiniment long à Lucile et Jeanne qui partageaient la même inquiétude. Lucile était tétanisée sur sa chaise longue, très fière du courage de son mari et terrorisée par la réaction possible de son beau-père. Jeanne restait plantée debout, les bras balants, elle avait l’impression d’être de nouveau ce petit garçon qui avait fait la grosse bêtise de mettre les habits de sa mère. Sa tension était si forte qu’une larme se forma, puis une deuxième et ce fut bientôt un torrent qui s’écoula sur ses joues, entrainant avec lui une partie de son mascara. René se leva, lui aussi pleurait, il la regarda encore une fois en lui attrapant les épaules puis il la serra fort contre lui en lui ...
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