1. Matchs de footre (4)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Pour ce match qui devait nous propulser vers l’ultime étape et le triomphe final, on retrouvait les mêmes participants que pour le quart, plus la femme de Kévin qui était aussi très délurée. J’étais plus excité par le match de cul que par celui de foot. On avait convenu d’être sages et d’attendre la fin du match pour sortir nos bites. Mais ce fut difficile. La femme de Kévin, Andréa, une grande black à la taille fine, comme les femmes touareg, aux hanches dessinées, portait une robe de lin très très transparente, une gaze légère, à peine. On voyait ses seins, modestes mais pointus et au galbe parfait, qui dardaient directement sous le tissu puisqu’il n’y avait pas de soutien-gorge et son sexe protégé par un string si petit qu’il ne cachait que la fente. Une tache plus sombre que la peau accusait l’emplacement du pubis, désigné comme une cible à notre concupiscence. Donc érection ! La chaleur montait dans l’appart d’autant que notre équipe avait pris le match en main. But à la 28e. Ce fut l’explosion de joie. Jonathan proposa : — Si on ouvrait déjà le champagne. — Putain, j’l’ai oublié. M’exclamai-je ! En effet, je devais l’apporter. — Sérieux Alex ! T’es con ! On avait dit que c’était toi. — Oui, je l’ai prévu mais je l’ai laissé à la cave. — T’as encore le temps d’aller le chercher. Tu seras revenu pour le début de la deuxième mi-temps. Il est vrai que je n’habite qu’à un quart d’heure à peu près de chez Jonathan et Amélie. — Bon d’accord mais vous ne baisez pas avant que je ...
    ... sois revenu ! — Qu’est-ce ça peut te foutre si nos couilles sont vides à ton retour ? Les femmes seront rodées, c’est moi qui te le dis ! T’avais qu’à pas oublier le champagne ! — Oui, d’accord, mais c’est pas le but... c’est mieux à plusieurs. Qui vient avec moi ? Evidemment, personne ne voulut m’accompagner. Pendant le trajet aller, que je fis assez vite, j’écoutais la radio distraitement pour suivre le match. En fait j’étais surtout impatient de partouzer et, une fois encore, je me disais que si ça avait été chez moi, ma femme offerte, cela aurait été le panard. Bref j’étais absorbé par mes désirs de cul. Fantasme, quand tu nous tiens ! En arrivant à la maison, je fus surpris de voir le petit coupé rouge de mon père devant la clôture. Si j’avais été un brin intelligent, j’aurais dû être encore plus surpris de ne voir que cette voiture. Et les prétendues copines de ma femme, elles étaient venues comment ? A pied ? Mais j’étais surtout en train d’imaginer ma femme devant supporter son beau-père au milieu de ces copines ; ce dernier éventuellement en draguait une un peu lourdement (c’est bien parce que c’était un cavaleur que ma mère l’avait quitté) et je ne tenais pas à me trouver vis-à-vis de lui car j’en avais pour des heures. Il aurait été impossible de m’en débarrasser. Avec un peu de chance, tout ce petit monde devait être sur la terrasse derrière la maison. J’approchais à pas de loup, jetais un œil vers le salon. Vide ! Bingo, ils étaient dehors. J’entrai et descendis ...
«1234»