1. Matchs de footre (4)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... passait-il si peu de choses ? Mon frère avait la langue trop occupée à lui raviner la fente pour pouvoir dire quoi que ce fût. Mon père en revanche y allait... gros porc ! — Ouais, suce, comme ça... prends bien les couilles, ouais, c’est bon, tu suces bien, profite... Elle te plaît ma grosse queue, ouais ? Régale-toi ma jolie, bouffe... les roustons, n’oublie pas les roustons. Après avoir encore bien regardé cette scène dont la puissance érotique, pornographique même, m’émoustillait de plus en plus et rendait de plus en plus douloureuse la protubérance qui persistait à me déformer le calebar, après avoir pris des photos et un petit film de la troupe, au cas où, immortalisant les nichons balançant entre les jambes écartées du beau-père, la bouche avide ouverte sur le gland gonflé, les fesses pleines de salive, après tout cela donc... Je décidai qu’il était le moment d’intervenir. — Sympa tes copines ! On s’ennuie pas ! Criai-je. On n’imagine pas la tête qu’ils firent. Mon frère se redressa et dirigea son regard éberlué vers moi, son gros sexe pointant en avant comme pour désigner le cocu que j’étais en disant : — Putain Alex... ben qu’est-ce que tu fais là ? Ma femme s’était mise à genoux et fondait en larmes en balbutiant — C’est rien mon chéri, je peux tout t’expliquer... Quant à mon père il tendit la main vers son bermuda pour s’en recouvrir le sexe. Je répondis à mon frère : — Tu crois pas que c’est à moi de te demander ce que tu fais chez moi à sauter ta belle-sœur ? — ...
    ... Nan, mais Alex, c’est... — Vos gueules. Vous me raconterez plus tard... et encore, si je veux savoir. Pour l’instant remettez vos fringues et grouillez-vous, vous venez avec moi, et vite ou vous allez me faire rater la fin du match. — On va où ? — Sauter la femme d’un de mes potes et deux autres salopes vachement expertes, en présence de leurs maris. Vous qui aimez l’amour en groupe, vous allez être servis, et toi ma belle garce qui cachait bien ton jeu, puisque tu aimes les belles bites, tu vas te pâmer ma jolie. Au festival des putains, tu vas pas être la dernière ! — Si je comprends bien, tu caches ton jeu aussi... et au festival des cocues, je suis comment ? A égalité avec toi pour celui des salauds ? Elle n’avait pas tort. — Y a pas de raison qu’il n’y a que vous à aimer la bonne baise. Allez ! En route ! Ce fut ma seule réponse. Assis à côté de moi dans la bagnole, j’écoutai les explications de mon frère. Pendant ce temps-là, à l’arrière, avec ma bénédiction tacite, mon paternel doigtait ma femme qui le masturbait très lentement en retour. Tous les deux gémissaient de manière à peine audible. — T’sais Alex c’est de ta faute. Karine elle est pas folle elle sait que tu vas voir ailleurs... alors un jour elle a éclaté en sanglots, j’étais là, je l’ai consolée... et de fil en aiguille. — T’as éclaté en sanglots ? Toi ? Mon cul ! T’as pas cherché à te faire consoler par ce grand nigaud ? Et toi tu t’es laissé faire ? — Ben mets-toi à ma place... — A ta place, j’y étais... ...