1. Matchs de footre (4)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... immédiatement à la cave chercher mes caisses de Champagne. Un vasistas était ouvert et j’entendis des gémissements sans équivoque, tels que ceux que je me félicitais de pouvoir entendre dans moins d’une heure et que je me faisais fort de provoquer moi-même. — Hmmmm, hmmmm, ouiiiii... — T’aimes ça, hein t’aimes ça... Prends des bons coups de pine... tiens salope, c’est bon hein, ouais, c’est bon ça... ma grosse bite dans ta chatte là... Je ne pouvais rien voir mais j’étais sidéré ! J’imaginais mon père resté avec une copine de ma femme pendant que les autres étaient parties je ne sais où et il la sautait. Pourtant, même si la voix du mâle ne m’était pas inconnue, il ne me semblait pas que ce fut celle de mon géniteur. J’avais un doute. Je voulus en avoir le cœur net et montai dans ma chambre, d’où on surplombe toute la terrasse. Ce que je vis me fit littéralement tomber sur le cul. Sur un transat, allongé, son gros ventre à l’air, son poitrail massif viril, couvert de poils blancs, mon père se faisait sucer. Je ne voyais pas sa bite tant la goulue l’avait avalée jusqu’à la luette. Cette goulue, A quatre pattes, était ma femme qui le pompait gaillardement tandis qu’un colosse au crâne rasé la prenait par-derrière. Je le voyais de trois quarts dos, avec sa carrure de nageur, ses épaules carrées, sa taille fine, son cul rebondi et ses jambes bien campées. Un vrai beau mec. C’est lui que j’entendais. — T’aimes ça hein salope, t’aimes la bonne queue, c’est bon ça hein, tu la sens ...
    ... bien là, hein ? Ce colosse, c’était mon jeune frère, Abel. Il avait tout juste dix-neuf ans, neuf de moins que moi. Il est vrai que, quand ma femme m’a rencontré, c’était encore un pré adolescent qu’elle n’avait pas remarqué. Mais maintenant c’était un homme, et un beau ! Et elle semblait l’apprécier. Il pinait vigoureusement. Je voyais ses boules lisses se balancer à toute allure. Il tenait ma femme par les hanches. Mon père, mains derrière la nuque en oreiller, ondulait du bassin pendant la fellation. J’étais sonné. Je m’assis sur le lit. Cocu, cocu par mon père et mon frère ! Je restai là quelques minutes avant de me rapprocher de la fenêtre pour voir si ce n’était pas un cauchemar. Ils avaient eu le temps de changer de position. Ils se tenaient désormais tous les trois debout, ma femme pliée en deux suçant mon frangin et mon père, dont le ventre assez volumineux ne l’empêchait pas d’approcher du cul, en train de la limer par-derrière. J’étais déboussolé. Je les regardai se remettre presque dans la même configuration qu’au début J’aperçus les sexes dressés des hommes. Pour autant que je pus en juger, c’étaient de sacrées belles pièces, de sacrées belles bêtes, de sacrées belles bites. Je ne sais pas s’il y a quelque chose de génétique dans la taille de la bite, mais il fallait reconnaître que dans la famille on était plutôt TTBM. J’assistai à ce plan à trois complètement inerte, comme hypnotisé, extérieur à moi -même. Pour être honnête, ma femme ne m’avait jamais paru si ...