1. Garce convertie en vaut deux


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Mature, Première fois Inceste / Tabou

    Suis du genre coincé. Une amie véritable m’en a prévenu un jour. L’excèsmène toujours à son contraire. On choit de Charybde en Scylla. La prudeque j’étais goûterait un jour au fruit défendu. Rapport mystérieux entrela sainte et la putain. Même volonté de s’humilier et d’idéaliser undestin. Il ne manquait pour cela que l'occasion et l’instrument du mal.Il apparut se nommant Dominique. Il était beau faisant tourner la têtedes autres filles et collègues. Don Juan de bazar je ne pouvais qu’avoirdu mépris pour un pareil personnage. Bref je le snobais au début etl’attirais de juste vers moi.Je n’étais pas je crois vilaine. Je cultivais cependant cet aspect froidet revêche que cultivent les anglaises. Blonde de peau laiteuse, jesemblais au-dessus des contingences de la chair et du péché. Hitchcockeut goûté peut-être mon style. Dominique joua sur ce registre. Face àmon hostilité il fit profil bas d'abord me sachant amateur de vieuxfilms et d’opéra. Il affecta de s’y intéresser. D’abord par jeu puispour écraser les prétentions du fat je vins à entrer dans son jeu. Jetissais moi même un piège où j’allais tomber. Il avait pour lui cetinstinct sûr chasseur.Au final il usa du piège grossier de l’envie. Il feint de s’intéresser àune autre, une blême rivale laquelle était supposée partager tous mesgoûts. Comparer suffit à piquer toute vanité. Je fus dans une ragefolle. Je ne fus pas peu étonnée moi-même de ma réaction. Il m’atoujours importé de me maîtriser. J’avais à mes dépens parcouru un ...
    ... longchemin. Le poison après que cet homme m’eût mordu suivit son cours. J’enétais bouleversée. Il me parut terrible de découvrir que j’étais mordueet enchaîné. Que faire ? Je voulais m'enfuir. Mes pas me ramenaient à lui.Il y eût une scène. Je l’invitais un soir lui balançant mes vérités etlui signifiant son congé. Je bu plus que de raison, m’emportant etfondant en larmes. Un instant après que nous fûmes seuls dans lavoiture, le monstre abandonna tous égards. Je rencontrais pour lapremière fois le mépris dur et glacé d’un homme. Je découvris qu’unetelle muflerie au contraire me ravissait. Il alla loin me traitant depetite bourgeoise. Il m’insulta et dénigra ma vie et mon mari. Je voulusle gifler. Les coups s’abattirent sur moi. Ce fut d'une rare v******e.Aujourd’hui je dis avoir mérité cela. Qu’étions nous venus faire dans cebois à cette heure ? Il y avait là de rares promeneurs et des typesbizarres. Dominique n’avait cure qu’on nous vit. Il usa et abusa de moidurant une heure. Les yeux brouillés par les larmes je distinguais dansla brume le visage dur du bourreau. Celui-ci triomphait. Mon humiliationajoutait sûrement à son plaisir. Son plan marchait. Il sortit pour sedégourdir les jambes. Sous la lune il tirait calmement sur sa cigarette.Je revins complètement bouleversée. Mon pauvre mari ronflait. La douchene sembla laver l’ampleur du péché. Il était bon que mon mari partittôt. Je n’aurais pu affronter son regard. Au bureau je m’enfermaisarguant de quelques dossiers. A mon ...
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