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Garce convertie en vaut deux
Datte: 15/11/2019, Catégories: Mature, Première fois Inceste / Tabou
... grand dam Dominique ne se manifestapas. J’avais prévu les attitudes et les mots à lui jeter à la figure.N’avais-je pas moyen de lui nuire ? Cependant peu de signe de vie. Ilavait comme disparu. J’eus un frisson. M’avait-il oublié et déjà reléguéau néant ?Cela dura deux jours. J’étais effondrée non pas de le coincer et luijeter mon venin mais au contraire de ne pouvoir assouvir comme un besoinde coups et de caresses. Mon esprit repassait en boucle la scène del’autre soir. Je n’avais jamais éprouvé autant d’envies. Hors de moi etcomme parvenue à un stade ultime auquel j’avais peut-être aspiré depuistoujours. Il m’était inconcevable de renoncer à cette jouissancedécouverte. Malheur à celui qui goûte une fois au paradis. Il lui tarded’y revenir. Sa damnation est sûre.Un matin je le vis de ma fenêtre papotant sur le parking avec un type.Un client vraisemblablement. Mon cœur tambourinait. Le sang déferlaitdans mes veines. J’étais envahie d’un trop plein d’émotion. Il allaitm’échapper. Il me fallait faire vite pour l’intercepter. Je courus telleune folle pour le ratt****r tandis qu’il rentrait dans l’immeuble. J’eusdu mal à me contenir affectant l’indifférence dans mon regard. Il mesalua et allait passer son chemin.Le sentiment d'abandon flageolait mes jambes.J’eus malgré moi une voix triste presque désespérée. Je l’appelaistandis qu’il allait entrer dans l’ascenseur. Il se tourna étonné. Mamine trahissait-elle le désarroi ? Il m’entraîna près du prochedistributeur à café. Je ...
... parlais alors de manière insensée. Le sujet sevoulait professionnel. Je demeurais confuse. Il me fixa et me demanda sicela allait. Quelque chose semblant me tournebouler. Je n’y vis pointd’ironie. On eût dit qu’il avait effacé tout souvenir du flirt del’autre fois. Nous étions l'un à l'autre de parfaits étrangers.Un collègue vint alors s’immiscer prenant le bras de Dominique pourl’entraîner plus loin. Le coup était manqué. Je n’étais toujours pasparvenue à ma franche explication. Au lieu d’avancer je reculais.J’encourrais de devenir folle pour les prochains jours. Surtoutj’entrevis qu’il m’avait oublié et peut-être convolait vers une autrefille. La jalousie terrible m’accabla. Il ne serait pas dit que jeserais jetée telle une vieille chaussette. Cette histoire devait avoirtout somme toute une fin honorable. J'ai toujours été victime de monéducation.Prenant sur moi je ravalais ma fierté. Je l’abordais un soir dans leparking. Il était tard. Je le savais de retour d’une réunion. Le parkingétait désert de ses voitures. Il parut surpris que je fus présente à uneheure si tardive. J’arborais mon long manteau de cuir noir. D’un simplemouvement écartant les pans de celui-ci, il vit que j’avais dessous mamini jupe et mes bottes noirs. Je m’étais accoutrée dans la frénésie.J’avais pas mal forcé sur mon rouge à lèvres et du sombre autour des yeux.Le sourire succéda bientôt à la stupeur. Il goûtait que je lui fis lasurprise de ce beau rendez- vous après sa journée harassante. Il me fitsigne de ...