1. Garce convertie en vaut deux


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Mature, Première fois Inceste / Tabou

    ... le suivre dans son véhicule. Je le suçais telle une assoiffée.Imperturbable il répondait au téléphone. Il récapitulait en effet lespoints de la réunion. Je versais là dans le rôle idiot de la secrétaireou de la pute vulgaire. Il n’y tint plus. Après avoir raccroché ilm’entraîna hors et vers un proche poteau. Écartant le fil de mon stringil me besogna debout par-derrière.Une deux fois les phares d’un véhicule faillirent nous surprendre.C’était excitant. Peut-être un collègue eût-il reconnu mon visage plutôtque mes fesses. Celles-ci étant investies à leur tour. Dominiques’autorisait cette fois à m’accabler des pires insultes. J’atteignais auniveau du caniveau. Je n’eus pas vu d’inconvénient qu’il appela à larescousse d'autres mâles. J’étais résolue à ce qu’il m’humiliâtcomplètement. Glorieux il éjacula enfin sur mon visage tandis quej’attendais soumise et prosternée devant lui.A partir de ce jour il me tint comme plus en estime. J’avais pris pourune fois pris l’initiative et adhérais à ses jeux. Il se réjouit que jedonne libre cours à ma perversité. Il avait d’emblée repéré celle-ci. Ildésespérait alors que je ne veuille un jour me lâcher. Moi-même je mesentis libéré comme d’un poids. J’avais passé la cinquième. Je roulais àtombeau ouvert. Je découvrais le sexe, la débauche, la transgression. Unsoir je sautais le pas et acceptais qu’un autre homme me baisât. C'étaitune de ses marottes.J’entrais dans un bar et allais m’installer à l’écart au ...
    ... vu de tous. Unmâle au hasard et qui n’était pas nécessairement de mon goût vint pourme tenir conversation. J’avais commandé du gin. La tête me tournaitdéjà. Il disait des choses convenues qui tournaient au vulgaire. Sesyeux brillaient. Il me souffla de le suivre dans les toilettes. On eûtdit que cet ordre me fut familier. Je le suivis et le suçais. Sa queuedans mon cul fit son ravage. Je jetais au hasard un papier où il avaitinscrit un numéro de téléphone.Dominique m’entraîna de la sorte au bois pour m’offrir à des typesallant jusqu’à obtenir un paiement. Il m’initia du même coup ausaphisme, une autre révélation. J’eus du mal à cacher aux autres_collègues ou mari _ l’ampleur du changement. Je prétextais que la gymm’avait épanoui. Pure diversion j'avais pris en effet un abonnement enune salle. Là-bas j’y découvris d’autres amants. Il était inconcevableque des hommes ne profitassent de moi le long de la semaine. Le mot puteretentissait souvent à mes oreilles.L’élève peut-être dépassa le maître. Je n’eus point de chagrin lorsqueDominique muta en province pour une vraie et belle promotion. Nousdînâmes en amoureux. Il fut choqué que je ne témoigne plus de regret etde nostalgie. Pour le coup je le trouvais sentimental voire plutôt vieuxjeu. Je l’avais depuis remplacé. J’avais pris mon indépendance. Lesréseaux libertins sur la capitale n’eurent plus de secret pour moi. Enretour je considérais que ma vie antérieure avait été fort contrite ettimorée. 
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