1. "Il venait d'avoir Dix-huit ans..." (8)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et toutes les autres parties du corps de la “possédée”, un autre prenant du savon pour mécanicien, savon rude constellé de micro granules, pour retirer la crasse des ouvriers, sur le pain fixé au mur, commença à badigeonner Anne sur les cuisses, les seins, insistant bien sur son pubis et sa vulve offerte. Anne glacée par le jet d’eau, mais flagellée par moments par son mari, et badigeonnée de savon sous toutes les coutures se laissa aller de nouveau au plaisir. Elle gémissait derechef sous les mains qui la trituraient et la malaxaient sans ménagement, sous les lanières de cuir qui venaient réchauffer sa peau... elle jouissait une fois de plus. Anne sentait le savon grossier qui pénétrait son intimité. Les doigts enduits venaient tapisser les muqueuses si sensibles de son sexe, les granules destinées à enlever huile et corps gras sur les mains de rudes travailleurs, venaient maltraiter son clitoris, passer entre grandes et petites lèvres, sur la peau si douce des seins et des fesses... mais tout cela ne faisait qu’exacerber la sensibilité et le désir sexuel d’Anne, qui se laissait aller à ces traitements très durs ! Maurice s’arrêta de flageller son épouse et la regarda, lavée par les hommes, les cuisses impudiquement ouvertes, dans ce vestiaire miteux et sale. Sa femme jouissait encore ! Elle prenait encore du plaisir à être traitée comme une pute de bas étage, glacée par l’eau, lavée comme on aurait lavé un chien crotté. Il ne savait plus que penser. Avait-il un jour ...
    ... compris et connu la créature qui partageait ses jours depuis tant d’années ? Saisi son essence intime de femme délurée ? Cette démone lubrique qui était la mère de ses deux fils, cette professeure émérite de son lycée, cette mère de famille toujours soignée, bien sous tous rapports... il ne la reconnaissait plus. A chaque fois qu’il pensait la réduire à sa vocation première de femme honnête, qu’il cherchait à l’avilir un peu plus, elle obéissait docilement et acceptait toutes les servitudes et dépravations... la situation lui échappait complètement et il commençait à avoir peur. Une angoisse sourde lui minait les reins. Enfin Anne toute mouillée, mais enfin propre, fut saisie par des bras vigoureux et remise debout ; elle était trempée des pieds à la tête, et il n’y avait pas trace de serviettes dans le local. Maurice décida qu’elle ne pouvait remettre sa robe si moulante, elle lui aurait collé à la peau... alors l’un des hommes fouillant dans les armoires de vestiaire abandonnées, trouva un bleu de travail un peu étroit et poussiéreux. Anne sans façon, s’en revêtit, et elle apparut encore plus excitante que jamais, avec ses cheveux mouillés, et ses seins qui pointaient à travers le tissu bleu, dont elle n’avait pas refermé les bords jusqu’en haut, laissant libre la naissance de ses seins. Lorsque les hommes prirent congé, remerciant longuement le pasteur de sa générosité, et Anne du plaisir qu’elle leur avait donné, la nuit était déjà tombée... ce qui arrangeait bien le pasteur. ...
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