Je remplace ma collègue Sophie (5)
Datte: 17/11/2019,
Catégories:
Transexuels
... que sa semence ne se répande pas dans la housse de couette. C’est habillé en femme, dans le rôle d’une femme, que je me suis endormi dans les bras d’un homme qui me désirait et qui venait de me combler. Je me suis endormi au rythme de la respiration de Gilles, qui au fur et à mesure, réduisait son rythme respiratoire après l’effort. Je venais de m’endormir, après avoir rempli mon rôle de femme annexe de mon patron. À ma grande surprise, au réveil, mon étalon reproducteur était toujours derrière moi, emboîté en moi. Je ne pouvais pas bouger sans le réveiller, tant il me tenait encore enlacé sur moi, il dormait encore mais vu la position, j’étais encore sa femelle. J’ai préféré rester immobile, avec ses mains sur mon corps, toujours vêtu d’une tenue féminine. Raison je me fis de me rendormir, malgré les odeurs de sexe masculin qui émanaient de sous les draps. Gilles avait une main bloquée par mon corps, sur laquelle j’étais allongée, par contre l’autre était agrippée sur mon sexe. — Coucou ma chérie soumise. — J’espère que tu as bien dormi. C’est sur ces mots gentils, mais qui me catégorisaient bien, que Gilles s’est réveillé et m’a chuchoté à l’oreille. Immédiatement son sexe qui n’avait pas quitté ma cavité s’est remis à prendre du volume et surtout sa main libre a recommencé à caresser mon corps d’une façon très efficace. Il n’y a pas à dire j’avais bien dormi et j’étais bien reposé, le réveil assez chaud que me proposait Gilles, m’imposait de vite réaliser que j’étais ...
... toujours sa femelle, dans son lit. Il ne m’a fallu que quelques minutes pour retrouver mon érection de la veille, la gaule que j’avais trahissait sans équivoque, le bien qu’il me faisait déjà. Je me suis laissé faire un bon bout de temps, je subissais pour mon plus grand plaisir. Il n’y a pas à dire Muriel n’aimait pas se faire sodomiser ni le sucer, mais son mari était aussi d’une grande douceur et il aurait fallu être bête pour passer à côté de cela. Au bout d’une bonne heure des caresses de sa part, et de soumission de la mienne, Gilles a pris l’initiative que nous devions aller manger. C’est donc toujours habillé en femme et perché sur de magnifiques escarpins de Muriel, que je me suis retrouvé dans la cuisine avec mon étalon. Marie et Muriel nous y attendaient, quand nous sommes rentrés dans la pièce, ma femme m’a regardé avec un regard ébloui. — Tu prends ton rôle de femme vraiment très à cœur mon chéri. — Tu es vraiment magnifique et tu as vraiment une démarche chaloupée bien féminine. Pendant que ma femme me parlait, Gilles en profitait pour me caresser les fesses devant elles, à travers ma longue et douce robe. Contre toute attente, quand je me suis assis à table, j’ai joint mes genoux en tenant ma robe longue, comme l’aurait fait une femme pour poser mon séant. À peine assis, ce n’est pas ma femme, mais Muriel qui est venue m’embrasser la première. Cela m’a fait tout drôle qu’elle fasse ça devant ma femme, qui avait l’air de le prendre très bien. Avoir les têtes de ...