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Je remplace ma collègue Sophie (5)
Datte: 17/11/2019, Catégories: Transexuels
... Muriel et Marie, il n’y avait pas de doute, leur nuit avait été chaude et mouvementée. J’ai aisément pu retrouver le goût du minou de ma femme, dans le baiser de sa maîtresse. Elles avaient des petits gestes et de petits sourires entre elles, qui laissaient supposer une grande complicité naissante. Je voulais être aux petits soins pour ma femme mais Muriel s’en chargeait, de l’autre côté c’est Gilles qui l’était pour moi. Dans ma tête j’étais en train de m’interroger: Muriel avait couché avec moi, ma femme et avec son mari, je couchais avec ma femme Muriel et son mari, devais-je en conclure que mon patron avait couché avec ma femme. Cela me faisait tout drôle que mon patron me remette les cheveux au-dessus des oreilles et me tamponne les lèvres avec sa serviette quand une goutte de lait coulait. — Tu sais ma cochonne, je tenais à te dire que ta femme est vraiment un bon coup. Je vais vous avouer que j’étais un peu gêné que Muriel me parle ainsi de ma femme. — Ma chérie, sache que cette cochonne est aussi un bon coup, et que j’aimerais passer de nombreuses nuits avec elle. Muriel et Gilles étaient en train de parler de Marie et ...
... moi d’une façon assez bizarre. — Ne t’inquiète pas ma cochonne, quand Sophie reviendra, je continuerai à te baiser car tu as l’air de vraiment aimer ça. — En fait il y a un côté soumis obéissant de ta part, qui me plaît énormément. J’étais en train de comprendre que ce que j’étais en train de vivre, cela n’allait pas cesser au retour de ma collègue. Cela n’avait pas du tout l’air de déranger ma femme, que mon patron se réserve une partie de mes disponibilités. Bien évidemment après le repas je me suis retrouvé à aller nettoyer les toisons des deux femmes, j’y ai pris grand plaisir et elles aussi car manifestement elles ne s’étaient pas douchées et cela sentait très bon la marée. Une fois les opérations terminées auprès des femmes, c’est mon amant qui m’a invité à lui faire de même. Il n’y a pas à dire Gilles avait beaucoup de classe, c’était toujours un plaisir que de lui obéir et de s’y soumettre. jmfjbbxu C’est ainsi que ce matin-là, pendant que les femmes se chargeaient de débarrasser la table et faire la vaisselle, je faisais une turlutte mon patron sous leurs yeux. En espérant que ce chapitre vous ait plu. Gros bisous à vous