Charles - Histoires de Sexe

Charles

... nous avons pu parler allusivement, et lui comme moi, nous avons parfaitement compris les sous-entendus ! Depuis que mon mari est parti vers cette terre lointaine, par-delà les mers, Charles est très souvent fidèle au poste. Tout au plus n’est-il pas venu mardi, car il avait un chantier lointain à visiter. Il m’a d’ailleurs carrément avoué que l’idée de me prendre avec lui l’avait effleuré. — Comment ça, me prendre avec vous ?— En tout bien tout honneur, il va de soi, Gally… J’ai rougi, je n’avais pas saisi sur le coup le double sens. Et j’ignore si Charles l’avait fait exprès. — Et j’aurais fait quoi avec vous, sur ce chantier ?— Je vous aurais fait visiter, et nous aurions pu discuter durant tout le trajet.— Et la petite ?— Nous l’aurions prise avec nous dans son couffin. J’ai néanmoins beaucoup apprécié qu’un homme recherche ma compagnie… Mon bébé marque une petite pause dans sa tétée, elle vient d’abandonner momentanément mon téton. Je la cale mieux sur mon bras et ce faisant, ma poitrine est bien dégagée, parfaitement visible pour mon seul et unique spectateur du jour. Celui-ci prend la parole pour me complimenter : — Décidément, vous avez une belle poitrine, Gally…— Vous croyez ? Elle est plus grosse que belle…— Vos seins sont bien proportionnés, même si en effet, vous avez une poitrine plutôt volumineuse.— Vous regardez mal, Charles…— Peut-être que je suis en effet trop éloigné… C’est alors que je lui réponds tout naturellement : — Eh bien, approchez-vous pour mieux ...

... voir.— Je… je peux ?— Oui, bien sûr, si je vous le propose. Il ne faut pas le lui dire deux fois. Prestement, Charles s’approche à un mètre de ma personne. Néanmoins, il demande : — Ici, vous pensez que ce sera OK ?— Ça devrait aller ! Je sens qu’il aurait aimé venir encore plus près, mais chaque chose en son temps. — Je confirme, Gally, ils sont réellement beaux.— Vous dites ça pour me faire plaisir, Charles.— Pas du tout. J’envie votre fille et surtout votre mari qui peuvent en profiter ! Je ne réponds rien, je me contente de sourire et j’en profite pour changer de sein. Mon prétexte est qu’il faut alterner les tétées de mon bébé. En réalité, ça m’amuse de dévoiler ma poitrine à cet homme et lui mettre sous les yeux des seins nus et lourds rien que pour ses yeux. En est-il dupe ? Je ne sais pas. Néanmoins, il fait comme si… — Vous savez, Charles, avoir une grosse poitrine est un fantasme d’homme, car je vous prie de croire que ce n’est pas facile tous les jours, c’est lourd à porter ! Bonjour le dos !— C’est vrai que je ne songeais pas à cet aspect des choses…— Ça, c’est bien les hommes. Quand je monte les escaliers, ou surtout quand je les descends, ça oscille de partout et ça tire. Je n’ose même pas vous dire l’effet quand je cours ! Il s’amuse de ma répartie : — En tout cas, le jour où vous descendez l’escalier, permettez-moi que vous attendre au palier inférieur pour mieux contempler ce spectacle !— S’il n’y a que ça pour votre bonheur, je peux m’en occuper la prochaine ...