Charles
Datte: 17/11/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
grosseins,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
coprolalie,
extraconj,
... fois. Je vois bien qu’il est un peu interloqué, ce qui ne l’empêche pas de demander : — La prochaine fois… vous voulez dire quoi par là ?— La prochaine fois que je devrai descendre l’escalier. Ça me fait penser que je dois aller chercher quelque chose à la cave, enfin, à ce qui nous sert de cave dans cet immeuble.— Euh… je peux aller vous le chercher si vous me dites où se trouve votre cave. De plus, on ne peut pas laisser votre fille toute seule… Il joue au crétin ou c’est naturel chez lui ? Je lui offre une opportunité, une sacrée perche et il ne la saisit pas ? Néanmoins, je crois comprendre ses réticences vis-à-vis de mon bébé. Je le rassure : — Oh, vous savez, quand ma fille vient de téter, elle s’endort profondément quelques minutes plus tard.— Ah, d’accord… Rassasiée, ma petite est en train de fermer les yeux. J’attends un peu, mais elle est déjà partie dans le royaume des songes, un air béat aux lèvres. Alors après quelques minutes d’attente, je me décide à la coucher dans son lit. Je la veille un peu pour m’assurer que tout va bien, puis je reviens auprès de Charles. Celui-ci me demande : — La petite dort déjà ?— Oui, elle dort déjà. En général, à cette heure-ci, une fois sa tétée faite, elle est dans les bras de Morphée. Comme rassuré, il hoche la tête. C’est en le voyant ainsi que le déclic se fait. Je suis incapable de dire le pourquoi du comment, mais c’est à ce moment précis que je décide de franchir un pas. Et c’est d’un ton décidé que je dis à mon visiteur : ...
... — Je vais aller chercher quelque chose à la cave. Vous venez ?— Euh… d’accord…— Passez devant, je préfère. Peu après, nous sommes dans la cage d’escalier. Je vérifie en catimini : personne. Charles est déjà sur le palier du bas alors que j’ai à peine descendu quelques marches. Je l’interpelle : — Charles ?— Oui, Gally ? Il se retourne et ce qu’il voit lui plaît beaucoup ! En effet, j’ai tout simplement extirpé mes deux seins de ma robe, et je descends très lentement les marches, ma lourde poitrine oscillant à chacun de mes pas. Mon invité apprécie visiblement le spectacle que je lui offre. Il attend patiemment que j’arrive presque à sa hauteur, ou plutôt que ce soit mes nichons qui arrivent à la hauteur de sa bouche. — Oh Charles ! Vous faites quoi !? Il ne répond pas, car il vient de s’emparer avidement d’un téton qu’il commence à sucer, tandis que mon autre sein est capturé sans vergogne par une main rapace qui commence à me caresser, me soupeser, à me tripoter. Je le gronde gentiment : — Vous n’avez pas honte ? Là, comme ça, dans les escaliers ? Il quitte à regret mon téton pour en convenir : — Vous avez raison, il ne faudrait pas… salir votre réputation ! Puis il s’empare de ma main pour remonter les escaliers. Quelque chose me dit que Charles est très empressé de découvrir mes charmes et mes rondeurs ! Quelques secondes plus tard, nous nous retrouvons dans le même canapé, moi toujours mes seins lourds à l’air, et lui sa bouche et ses mains très occupées sur mes lolos et ...