1. Retour en arrière


    Datte: 12/09/2017, Catégories: ffh, couplus, alliance, volupté, Oral préservati, pénétratio,

    ... vêtement et lui fit subir de douces mais énergiques pressions de bas en haut. Je me penchai vers elle et me mis à effleurer légèrement, du bout des lèvres, les aréoles que je savais hypersensibles. La respiration de ma petite femme se faisait de plus en plus saccadée et je voyais qu’elle approchait de l’instant le plus impressionnant chez elle, l’orgasme. Marina avait, semble-t-il, oublié tous ses malheurs et n’était focalisée pour l’instant que par le jeu de mes doigts, de mes lèvres et par le ballet obscène mais aussi merveilleux de la main de son aînée sur ce membre rigide qu’elle devinait et mourait d’envie de cajoler. Tout en pinçant légèrement les tétons de mon amour, je regardai Marina dans les yeux et descendis lentement le regard le long de son corps admirable, jusqu’au bas de la robe, que je me mis à fixer avec insistance. Nous étions tellement en communion que ma douce belle-sœur comprit immédiatement mon désir et tira lentement sur sa robe, à la limite de la superbe dentelle blanche. Je la regardai à nouveau et fus surpris et enchanté de découvrir, dans son regard rempli d’étoiles, tant de désir, de confusion, d’abandon. La rougeur marquée de ses joues ne laissait plus aucun doute sur l’état de son désir. Au moment où je sentais qu’Aurélie dégageait mon sexe de sa prison, je vis les yeux de ma petite belle-sœur s’agrandir, et il me sembla que durant un court instant elle manquait d’air. La taille de l’objet n’étant nullement en cause, car je suis strictement ...
    ... dans la moyenne (ceci pour les obsédés des records), je pense simplement que sa fermeté et son port majestueux lui laissaient augurer de moments délicieux. Aurélie, de son côté, n’avait pas perdu de temps et s’était penchée pour prendre le doux cylindre entre ses lèvres. La douceur de celles-ci, et le côté irréel de la scène, provoqua dans mon ventre une déferlante miraculeusement freinée par ma chérie qui me connaît par cœur. Quelques gouttes de liqueur s’étaient tout de même échappées, et ma femme se releva pour les montrer à sa sœur, avant de les effacer d’un petit coup de langue gourmand. Elle se glissa à genoux devant moi et me reprit doucement dans sa bouche, titillant le gland par de savants coups de langue, amplifiant la raideur du membre au-delà de tout ce que j’avais jamais connu. Elle finit d’ôter sa robe et commença à se caresser avec ma verge, d’abord les joues, la bouche, qu’elle utilisa merveilleusement, puis le cou et les seins. La sensation de douceur de cette peau m’avait amené au pinacle du plaisir et il était maintenant douloureux pour moi de me retenir. Mon sexe était devenu violacé, les veines apparentes semblaient vouloir céder à chaque battement de cœur et le méat était humide du liquide séminal qui s’écoulait un peu, au rythme des vagues de plaisir. Aurélie en était au même point, et je voyais que si elle tenait ma verge d’une main, l’autre était enfouie au plus profond de ses cuisses. Marina s’était assise, les jambes sous elle, et nous regardait avec ...
«1...345...»