Retour en arrière
Datte: 12/09/2017,
Catégories:
ffh,
couplus,
alliance,
volupté,
Oral
préservati,
pénétratio,
... ? Par jeu, je décidai de me lancer dans une gentille provocation. Je voulais voir comment réagirait Marina, mais j’étais décidé à tout arrêter si cela devait raviver son chagrin. Je passai la main derrière le cou d’Aurélie, laissant mes doigts effleurer son bras, et remontai doucement mon autre main sur sa cuisse, jusqu’à sentir la douceur de la toison que rien ne protégeait. Aurélie, surprise, serra instinctivement les cuisses et me regarda, étonnée. Je lui fis un signe apaisant. Elle hésita une seconde puis, se retournant vers sa sœur qui continuait à parler, desserra les cuisses pour me laisser le passage. La discussion allait bon train, mais le regard de Marina ne quittait plus ma main. J’avais atteint le saint des saints et je sentais palpiter le petit abricot, ému par ces doigts indiscrets qui en faisaient perler une délicieuse liqueur que je regrettais de ne pouvoir immédiatement déguster. La petite chatte d’Aurélie était arrivée à son point d’excitation idéal, une fournaise douce et trempée dans laquelle j’enfonçais le majeur avec une extrême douceur. Je sentis le ventre de ma belle s’avancer à ma rencontre. Je savais maintenant que rien ne pourrait plus l’arrêter. Elles s’étaient arrêtées de parler en même temps, les mots étaient maintenant inutiles. Je glissai un deuxième doigt dans le fourreau satiné, tout en caressant du pouce le petit bouton qui déclenchait de puissants orgasmes chez mon amour. Aurélie se cambra violemment, projetant son ventre en avant avec un ...
... petit gémissement de plaisir. Marina la regardait, stupéfaite, avec une lueur d’envie dans les yeux. J’accélérais mes va-et-vient, mes doigts étaient pleins du bonheur de ma petite femme qui gémissait maintenant en continu, yeux fermés et étrangère à tout ce qui n’était pas son plaisir. Je remarquai qu’Aurélie serrait la main de Marina comme si elle avait voulu transmettre un peu de son plaisir à sa sœur et celle-ci ne quittait toujours pas ma main des yeux. Cette situation ne m’avait pas laissé de bois et je sentais mon sexe très à l’étroit dans mon slip. Vêtu d’un pantalon léger, je ne pouvais pas cacher mon degré d’excitation, je ne le cherchais pas d’ailleurs. Je ne voulais qu’une chose, aller au bout du plaisir… et pourquoi pas avec toutes les deux ? De la main gauche, je fis glisser la robe de l’épaule de ma belle, le tissu descendit, découvrant une partie du sein, mais resta accrochée au téton. Marina me regarda, l’œil brillant, je lui fis un sourire et, tout en me le rendant, elle dégagea totalement le sein de sa sœur en le caressant doucement. Ayant dans le même temps dégagé l’autre épaule, Aurélie se trouvait torse nu, offrant sa poitrine aux caresses que je me mis en devoir de lui prodiguer, abandonnant son sexe éclos tel une rose, dont le bouton recouvert de rosée n’attendait que la violence d’une mâle pénétration. Mes doigts trempés de liqueur laissaient des traces odorantes sur les mamelons chéris que je me mis à lécher. Aurélie s’empara de mon sexe à travers le ...